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Comme homme, Jésus était parfaitement juste, et quoiqu’Il se plaçât dans la position de ces pauvres pécheurs qui s’approchaient de Dieu, Il n’en était pas moins agréable à Dieu, et même Jésus n’a jamais été si agréable à Dieu que quand Il a porté nos péchés sur le bois. C’est dans le moment de Sa mort qu’Il a parfaitement glorifié Dieu, en tout ce qu’Il était comme homme, et qu’Il a aussi, en même temps, rendu témoignage à l’amour parfait et infini de Dieu envers les pécheurs.
 
Comme homme, Jésus était parfaitement juste, et quoiqu’Il se plaçât dans la position de ces pauvres pécheurs qui s’approchaient de Dieu, Il n’en était pas moins agréable à Dieu, et même Jésus n’a jamais été si agréable à Dieu que quand Il a porté nos péchés sur le bois. C’est dans le moment de Sa mort qu’Il a parfaitement glorifié Dieu, en tout ce qu’Il était comme homme, et qu’Il a aussi, en même temps, rendu témoignage à l’amour parfait et infini de Dieu envers les pécheurs.
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'''Le ciel est ouvert sur Jésus''' ; et bien ! '''il est aussi entièrement ouvert sur nous'''. Aucun péché n’est supportable devant Dieu ; tout ce qui n’est pas de Christ sur lequel le ciel a pu s’ouvrir, Dieu le voit, et Il ne peut pas supporter le péché. Mais il n’y a plus de voile, quant à nous ; {{Pass|nous voyons Sa gloire en Jésus, à face découverte|DCo3v18|a}}, et la gloire de Dieu brille sur l’homme, tel qu’il est en Jésus, comme elle brillait sur Jésus Lui-même. Tout ce qui n’est pas Christ est condamné. Tout ce qui est réprouvé est manifesté par Lui-même.
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'''Le ciel est ouvert sur Jésus''' ; eh bien ! '''il est aussi entièrement ouvert sur nous'''. Aucun péché n’est supportable devant Dieu ; tout ce qui n’est pas de Christ sur lequel le ciel a pu s’ouvrir, Dieu le voit, et Il ne peut pas supporter le péché. Mais il n’y a plus de voile, quant à nous ; {{Pass|nous voyons Sa gloire en Jésus, à face découverte|DCo3v18|a}}, et la gloire de Dieu brille sur l’homme, tel qu’il est en Jésus, comme elle brillait sur Jésus Lui-même. Tout ce qui n’est pas Christ est condamné. Tout ce qui est réprouvé est manifesté par Lui-même.
    
Il y a encore une conséquence de l’acceptation de Jésus, c’est l’Esprit de Dieu qui descendit sur Lui comme une colombe, et la voix du ciel qui se fit entendre, disant : « Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai pris mon bon plaisir ».
 
Il y a encore une conséquence de l’acceptation de Jésus, c’est l’Esprit de Dieu qui descendit sur Lui comme une colombe, et la voix du ciel qui se fit entendre, disant : « Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai pris mon bon plaisir ».
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J’ai la vie, parce que Dieu me l’a donnée ; mais dans le sens pratique, je ne peux pas vivre si je ne mange pas. Il n’y a pas une qualité spirituelle dans nos âmes qui ne vienne de Dieu, et de plus, voyez comme Jésus agit pratiquement. Il n’y a pas une seule parole dans le livre de Dieu qui ne puisse nourrir nos âmes, et c’est pourquoi il est important, pour nous, de savoir manier cette épée, par la puissance du Saint Esprit, afin de pouvoir tenir Satan à distance. « Après cela, le diable le transporte sur les créneaux du temple, et lui dit : Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas, car il est écrit : Il ordonnera à ses anges de te porter entre leurs mains, de peur que tu ne heurtes ton pied contre quelque pierre ». Satan Lui cite une promesse, mais Christ ne veut pas abandonner la position d’obéissance, et Il lui répond : « Tu ne tenteras point le Seigneur ton Dieu ». Il y a ici un principe de toute importance. Nous avons bien toute la Parole de Dieu, comme moyen de remporter la victoire sur Satan, mais c’est dans l’obéissance la plus simple que nous trouvons de la force. Si Christ n’a pas une parole de Dieu, Il ne fait rien. Il est venu faire la volonté de Son Père, et si ce qu’on Lui demande n’est pas selon cette volonté, Il n’agit pas.
 
J’ai la vie, parce que Dieu me l’a donnée ; mais dans le sens pratique, je ne peux pas vivre si je ne mange pas. Il n’y a pas une qualité spirituelle dans nos âmes qui ne vienne de Dieu, et de plus, voyez comme Jésus agit pratiquement. Il n’y a pas une seule parole dans le livre de Dieu qui ne puisse nourrir nos âmes, et c’est pourquoi il est important, pour nous, de savoir manier cette épée, par la puissance du Saint Esprit, afin de pouvoir tenir Satan à distance. « Après cela, le diable le transporte sur les créneaux du temple, et lui dit : Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas, car il est écrit : Il ordonnera à ses anges de te porter entre leurs mains, de peur que tu ne heurtes ton pied contre quelque pierre ». Satan Lui cite une promesse, mais Christ ne veut pas abandonner la position d’obéissance, et Il lui répond : « Tu ne tenteras point le Seigneur ton Dieu ». Il y a ici un principe de toute importance. Nous avons bien toute la Parole de Dieu, comme moyen de remporter la victoire sur Satan, mais c’est dans l’obéissance la plus simple que nous trouvons de la force. Si Christ n’a pas une parole de Dieu, Il ne fait rien. Il est venu faire la volonté de Son Père, et si ce qu’on Lui demande n’est pas selon cette volonté, Il n’agit pas.
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La bonne affection de Marthe et de Marie fait qu’elles prient Jésus de venir, en Lui disant : {{Pass|« Celui que tu aimes est malade »|Jea11v3|a}} ; cet appel était bien touchant, mais le Seigneur n’y répond pas tout de suite ; Il n’avait rien reçu de Dieu, et Il n’y va pas. Il n’écoute pas Ses affections naturelles. Il avait bien guéri d’autres malades ; mais s’Il avait guéri Lazare, Marthe et Marie n’auraient rien appris de plus. Jésus laisse dont mourir Lazare, et Il permet que leur cœur sente toute l’amertume de la mort, afin qu’elles apprennent que la résurrection et la vie sont là.
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La bonne affection de Marthe et de Marie fait qu’elles prient Jésus de venir, en Lui disant : {{Pass|« Celui que tu aimes est malade »|Jea11v3|a}} ; cet appel était bien touchant, mais le Seigneur n’y répond pas tout de suite ; Il n’avait rien reçu de Dieu, et Il n’y va pas. Il n’écoute pas Ses affections naturelles. Il avait bien guéri d’autres malades ; mais s’Il avait guéri Lazare, Marthe et Marie n’auraient rien appris de plus. Jésus laisse donc mourir Lazare, et Il permet que leur cœur sente toute l’amertume de la mort, afin qu’elles apprennent que la résurrection et la vie sont là.
    
Voilà l’obéissance qui est le principe de la vie, et non pas seulement la règle ; et, comme chrétien, je ne dois rien faire que ce que Dieu veut que je fasse.
 
Voilà l’obéissance qui est le principe de la vie, et non pas seulement la règle ; et, comme chrétien, je ne dois rien faire que ce que Dieu veut que je fasse.
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Mais je trouve encore ici un autre principe important, c’est que je dois avoir en Dieu une confiance si parfaite, que jamais je n’aie besoin d’en faire l’essai. C’est tenter Dieu de ne pas avoir la certitude qu’Il nous aime. Il faut que je compte tellement sur Son amour et Sa fidélité, que je n’aie pas même besoin d’y penser.
 
Mais je trouve encore ici un autre principe important, c’est que je dois avoir en Dieu une confiance si parfaite, que jamais je n’aie besoin d’en faire l’essai. C’est tenter Dieu de ne pas avoir la certitude qu’Il nous aime. Il faut que je compte tellement sur Son amour et Sa fidélité, que je n’aie pas même besoin d’y penser.
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Satan dit encore à Jésus : Jette-toi en bas. Ah ! je n’ai pas besoin, pense Jésus, je sais fort bien que Dieu me gardera. Les Juifs ont dit : {{Pass|L’Éternel est-il avec nous ou non ?|Exo17v7|a}} eh bien, en cela ils avaient tenté l’Éternel. — Nous devons avoir une telle assurance en Dieu, que nous puissions ne penser qu’à Sa volonté.
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Satan dit encore à Jésus : Jette-toi en bas. Ah ! je n’ai pas besoin, pense Jésus, je sais fort bien que Dieu me gardera. Les Juifs ont dit : {{Pass|L’Éternel est-il avec nous ou non ?|Exo17v7|a}} Eh bien, en cela ils avaient tenté l’Éternel. — Nous devons avoir une telle assurance en Dieu, que nous puissions ne penser qu’à Sa volonté.
    
Aussitôt que le diable dit à Jésus : Adore-moi, alors c’est Satan tout pur, et le Seigneur répond : « Va-t’en. Tu adoreras le Seigneur ton Dieu et tu le serviras lui seul ».
 
Aussitôt que le diable dit à Jésus : Adore-moi, alors c’est Satan tout pur, et le Seigneur répond : « Va-t’en. Tu adoreras le Seigneur ton Dieu et tu le serviras lui seul ».
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