◊1Si l’Éternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent y travaillent en vain ; si l’Éternel ne garde la ville, celui qui la garde veille en vain ;
◊2C’est en vain que vous vous levez matin, que vous vous couchez tard, que vous mangez le pain de douleurs. Ainsi[1], il donne le sommeil à son bien-aimé.
◊3* Voici, les fils sont un héritage de l’Éternel, [et] le fruit du ventre est une récompense.
◊4Comme des flèches dans la main d’un homme puissant, tels sont les fils de la jeunesse.
◊5Bienheureux l’homme qui en a rempli son carquois ! Ils n’auront pas honte quand ils parleront avec des ennemis dans la porte.