◊1Sur Dieu seul mon âme se repose paisiblement ; de lui vient mon salut.
◊2Lui seul est mon rocher et mon salut, ma haute retraite ; je ne serai pas beaucoup ébranlé.
◊3* Jusques à quand vous jetterez-vous sur un homme, [et chercherez]-vous tous à le renverser[1] comme une muraille qui penche, comme un mur qui va crouler ?
◊4Ils ne consultent que pour [le] précipiter de son élévation ; ils prennent plaisir au mensonge ; ils bénissent de leur bouche, et intérieurement ils maudissent. Sélah.
◊5* Mais toi, mon âme, repose-toi paisiblement sur Dieu ; car mon attente est en lui.
◊6Lui seul est mon rocher et mon salut, ma haute retraite : je ne serai pas ébranlé.
◊7Sur Dieu [reposent] mon salut et ma gloire ; le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu.
◊8Peuple, — confiez-vous en lui en tout temps, répandez votre cœur devant lui : Dieu est notre refuge. Sélah.
◊9* Les fils des gens du commun ne sont que vanité, les fils des grands ne sont que mensonge : placés dans la balance, ils montent ensemble plus [légers] que la vanité.
◊10N’ayez pas confiance dans l’oppression, et ne mettez pas un vain espoir dans la rapine ; si les biens augmentent, n’y mettez pas votre cœur.
◊11Dieu a parlé une fois ;… deux fois j’ai entendu ceci, que la force est à Dieu.
◊12Et à toi, Seigneur, est la bonté ; car toi tu rends à chacun selon son œuvre.