◊1Combien sont aimables tes demeures, ô Éternel des armées !
◊2Mon âme désire, et même elle languit après les parvis de l’Éternel ; mon cœur et ma chair crient après le *Dieu vivant.
◊3Le passereau même a trouvé une maison, et l’hirondelle un nid pour elle, où elle a mis ses petits :… tes autels, ô Éternel des armées ! mon roi et mon Dieu !
◊4Bienheureux ceux qui habitent dans ta maison ; ils te loueront incessamment ! Sélah.
◊5* Bienheureux l’homme dont la force est en toi, [et ceux] dans le cœur desquels sont les chemins frayés !
◊6Passant par la vallée de Baca[1], ils en font une fontaine ; la pluie[2] aussi la couvre de bénédictions.
◊7Ils marchent de force en force, ils paraissent devant Dieu en Sion.
◊8* Éternel, Dieu des armées ! écoute ma prière ; Dieu de Jacob ! prête l’oreille. Sélah.
◊9Toi, notre bouclier ! — vois, ô Dieu ! et regarde la face de ton oint.
◊10Car un jour dans tes parvis vaut mieux que mille. J’aimerais mieux me tenir sur le seuil dans la maison de mon Dieu, que de demeurer dans les tentes de la méchanceté.
◊11Car l’Éternel Dieu est un soleil et un bouclier ; l’Éternel donnera la grâce et la gloire ; il ne refusera aucun bien à ceux qui marchent dans l’intégrité.
◊12* Éternel des armées ! bienheureux l’homme qui se confie en toi !