Genèse 24, 32 à 49

[Chaque jour les Écritures, année 1, 8 février]

L’Éternel a conduit, comme par la main, le serviteur d’Abraham dans la famille de son seigneur. Celui-ci lui avait fait promettre solennellement de ne pas prendre de femme pour son fils parmi les filles des Cananéens (v. 3). Chers jeunes amis qui connaissez Jésus, même si le mariage se présente encore pour vous comme une éventualité lointaine, il n’est pas trop tôt pour retenir très fermement l’enseignement de la Parole à ce sujet : « Ne vous mettez pas sous un joug mal assorti avec les incrédules ; car… quelle part a le croyant avec l’incrédule ? » (2 Cor. 6, 14, 15). Un enfant de Dieu ne peut se marier que dans la famille de la foi, c’est-à-dire avec un autre enfant de Dieu. Ceux qui n’ont pas tenu compte de cette injonction ont pu le confesser plus tard avec beaucoup de tristesse : une union avec un inconverti n’est pas seulement une désobéissance formelle à la Parole du Seigneur, mais aussi une source de peines et de chagrins pour toute la vie. — Quel témoignage le serviteur d’Abraham rend à son maître auquel il est fier d’appartenir (v. 34-36) ! Il est grand, il est riche, il a un fils héritier de tout ce qui est à lui. C’est ainsi que le Saint Esprit, quand Il est reçu dans un cœur, fait connaître le Père et le Fils, et c’est ainsi que nous, rachetés du Seigneur, devrions savoir en parler.