Deutéronome 10, 1 à 11

[Chaque jour les Écritures, année 1, 15 octobre]

À peine entre les mains de Moïse, les deux premières tables avaient été brisées pour que le jugement n’entrât pas avec elles dans le camp idolâtre. Aussi cette fois, l’Éternel ordonne de placer immédiatement les nouvelles tables dans l’arche, type de Christ qui est le garant de l’intégrité de la loi. Selon Ses propres paroles, Jésus n’était pas venu pour abolir la loi, mais pour l’accomplir. Pas un iota, pas un trait de lettre auquel notre cher Sauveur n’ait parfaitement satisfait. À ce titre aussi, Il sera le plus grand dans le royaume des cieux (Matt. 5, 17-19). — 2 Corinthiens 3 compare les « dix paroles », inscrites jadis sur la pierre et la « lettre de Christ » gravée « sur les tables de chair du cœur ». Celle-ci se résume en fait à un nom, celui de Jésus que le Saint Esprit imprime dans le cœur de Son racheté. Mais pas pour y rester caché. Une lettre est faite pour être lue. Le nom de Christ doit pouvoir l’être par ceux qui nous connaissent. Autour de nous nombreux sont ceux qui ne lisent jamais la Bible. D’une manière indirecte ils peuvent y être contraints dans la mesure où notre conduite qu’ils observent met en pratique ses enseignements et reflète Jésus (1 Pierre 3, 1 fin, 2).