Deutéronome 11, 16 à 32

[Chaque jour les Écritures, année 1, 18 octobre]

« Mettez ces miennes paroles dans votre cœur et dans votre âme » (v. 18). « … Que mes paroles demeurent en vous… » est le mot d’ordre que le Seigneur Jésus en partant nous a laissé. S’il en est ainsi, nous saurons comment prier (Jean 15, 7), comment parler de Lui (Ps. 45, 1 ; Matt. 12, 34), comment fuir le mal (Ps. 119, 11). À tout instant de la journée, nous serons occupés de ces paroles et de Celui qui les a prononcées. Nos entretiens, nos actes, notre marche en porteront l’empreinte. On pourra lire jusque sur notre visage le bonheur qu’elles procurent. Dans notre foyer, à notre lieu de travail, dans nos allées et venues, nous ornerons en toutes choses « l’enseignement qui est de notre Dieu sauveur » (Tite 2, 10). — Puis vient la conclusion de toutes les exhortations à l’obéissance : « Regarde, je mets aujourd’hui devant vous la bénédiction et la malédiction » (v. 26). Devant chacun de nous s’ouvrent ces deux chemins. L’un est le sentier étroit de l’obéissance au Seigneur, l’autre la route large de notre propre volonté. Mais à cet embranchement, Dieu a placé des poteaux indicateurs. Le chemin de l’obéissance conduit à la bénédiction ; l’autre, celui de la volonté propre, à la malédiction. Lequel voulez-vous choisir et suivre ?