Juges 13, 11 à 25

[Chaque jour les Écritures, année 2, 24 janvier]

Ce n’est pas aux puissants en Israël que l’Éternel fait connaître Ses pensées pour la délivrance de Son peuple ; c’est à deux pauvres Israélites de Dan, la plus faible des tribus (chap. 1, 34). À qui aujourd’hui Dieu révèle-t-Il Son plan de salut et le Sauveur qu’Il a donné ? Aux petits enfants et à ceux qui leur ressemblent en simplicité de foi (Matt. 11, 25). Dans cette seconde visite de l’Ange, nous remarquons l’holocauste, l’offrande de gâteau, le rocher. Autant d’images de Christ qui nous sont familières. Mais l’Ange lui-même, qui est-il, quel est son nom ? Manoah qui avait ardemment désiré le connaître personnellement et pas seulement par l’intermédiaire de sa femme, obtient cette seule réponse : « Mon nom ? Il est merveilleux » (v. 18). Pour que nous le reconnaissions, il n’a pas besoin d’en dire davantage. Ouvrons nos bibles en Ésaïe 9, 6 : « On appellera son nom : Merveilleux » ! Et parce qu’Il est merveilleux, Il ne peut que faire « une chose merveilleuse » par laquelle nous Le reconnaissons aussi. L’Ange qui monte ici dans la flamme de l’holocauste, et Jésus qui, Son œuvre achevée, « après leur avoir parlé fut élevé en haut dans le ciel » (Marc 16, 19), sont une seule et même personne.