1 Jean 2, 20 à 29

[Chaque jour les Écritures, année 5, 23 novembre]

« C’est ici la promesse que Lui nous a promise — la vie éternelle » (v. 25). Jean se réfère à cette parole du bon Berger : « Mes brebis écoutent ma voix… et moi, je leur donne la vie éternelle » (Jean 10, 27, 28). Lecteur, l’avez-vous reçue ? Êtes-vous un enfant de Dieu ? Une autre promesse du Seigneur était le don du Saint Esprit (Jean 16, 13). Cette « onction de la part du Saint » repose aujourd’hui non seulement sur les « pères », mais aussi sur les « petits enfants » en Christ pour les conduire dans toute la vérité. « Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; — a dit le Seigneur Jésus — nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14, 6). L’apôtre confirme ici que celui qui nie le Fils n’a pas non plus le Père (v. 23 ; lire Jean 8, 19). Le Père ne peut pas être connu en dehors de Jésus (Matt. 11, 27). C’est pourquoi l’Ennemi déploie tant d’efforts contre la personne du saint Fils de Dieu et spécialement pour faire douter de Son existence éternelle et de Sa divinité (v. 22). Sachons reconnaître la voix du menteur (v. 22). Ce qui est « dès le commencement » est valable jusqu’à « la dernière heure » (v. 24, 18). En présence de toutes les « nouveautés », notre sûreté consiste à nous en tenir à l’enseignement du commencement (Gal. 1, 8, 9).