Je m’adresse ici à ceux qui connaissent Jésus. Vous désirez Le servir. Il vous arrive de soupirer : « Que puis-je faire pour le Seigneur ? ». Et vous attendez quelque occasion remarquable, un appel particulier pour accomplir quelque chose qui puisse être valablement catalogué comme « service du Seigneur ».
Mais permettez-moi de prendre la question par un autre bout. Voulez-vous me dire ce qu’un chrétien est autorisé à faire qui ne soit pas pour le Seigneur Jésus ? Y a-t-il acte, parole, pensée, d’où j’aie le droit de L’exclure ?
Laissons répondre la Parole :
« Et quelque chose que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, rendant grâces par lui à Dieu le Père » (Col. 3, 17 ).
« Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, ou quoi que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu » (1 Cor. 10, 31 ).
Et voici encore, à titre de contre-épreuve par la négative, Romains 14, 23 : « Or tout ce qui n’est pas sur le principe de la foi est péché ».
Tout. Le mot ne permet aucune dérobade. Le Seigneur nous veut tout entiers pour la gloire de Dieu. Il ne nous demande pas quelques moments à part dans notre vie, mais notre vie intégrale, dans tous ses détails. Il veut présider à tout, contrôler tout, animer tout.
Quel maître exigeant ! dit l’incrédulité. Plus exigeant encore qu’elle ne le suppose. « Donne-moi ton cœur » [Prov. 23, 26] , demande-t-Il ; non pas seulement notre activité, mais sa source. C’est qu’Il a sur les siens le droit le plus sacré et le plus doux, celui d’un amour qui L’a fait se livrer Lui-même pour nous. Mais quel Maître bienfaisant ! Cet esclavage est la vraie et seule liberté. Il a brisé le joug implacable qui pesait sur nous, afin que nous « servions le Dieu vivant » [Héb. 9, 14] , dans la joie et la louange : « rendant grâces par lui à Dieu le Père » [Col. 3, 17] . Tout ce qui n’est pas le Seigneur est une perte, en Lui tout est gain. Notre bonheur et la gloire de Dieu sont ici étroitement liés. Qu’est-ce que le monde, hélas, sinon la vaine poursuite d’un bonheur en dehors de Dieu, et comment l’homme pourrait-il être heureux loin de Dieu ?
Tout. Ne laissez pas votre vie se distribuer en parties multiples, une pour Dieu avec le Seigneur, d’autres sans Lui. Il n’y a pas de milieu, ou on sert le Seigneur, ou on sert le monde et son prince.
« Vous exagérez, et ce ne sont là que des façons de parler », dira quelqu’un. « L’existence comporte tant de choses qui ne concernent que la terre et qui n’ont rien à voir avec la vie spirituelle ! ». Eh bien, la Parole de Dieu, encore une fois, est formelle et absolue : « Tout… ». Nulle lame ne peut s’insinuer dans ce tout, nulle faille ne peut le scinder, vous n’en pouvez rien soustraire. « Soit, mais la chose est impraticable ! La preuve, c’est que nous voyons tant de chrétiens plus âgés que nous, et vous-même sans doute, qui ne se conforment pas comme ils le devraient à ces injonctions ». Ah, chers jeunes amis, l’expérience de vos aînés sur ce point ne saurait que confirmer, s’il pouvait en être besoin, la vérité de la Parole : ils ne vous diront pas qu’ils ont tout fait pour le Seigneur, hélas, mais ils vous diront, sans exception aucune, quel regret ils ressentent de ne pas l’avoir fait, et que tout ce qui n’a pas eu Christ comme objet a bien été une perte.
Sans tarder, passez au crible — nul ne peut le faire pour vous — les motifs réels de toutes vos diverses occupations.
Par exemple, pour prendre les choses les plus simples, vous consacrez du temps et des soins à votre corps. Il faut le nourrir, le tenir propre, l’exercer, il demande du délassement, du sommeil, vous le soignez en cas de maladie, etc. Tout cela est naturel au point qu’il ne vous vient peut-être pas à l’esprit de le faire pour le Seigneur. Mais vous voyez des gens qui sont de vrais maniaques en fait de soins corporels, toujours préoccupés d’eux-mêmes, de leur santé, de leur mine, sinon de leur beauté, et de leur « ligne », et de leurs vêtements, ou qui recherchent tous les sports propres à sculpter harmonieusement ce corps. D’autres, au contraire, le négligent au point d’être pour leur entourage des objets de répulsion. Ne direz-vous pas que les premiers sont occupés d’eux-mêmes, et que les seconds méprisent la créature de Dieu ? Pour le chrétien, tout sur ce point sera réglé et équilibré s’il prend garde que son corps est le temple du Saint Esprit (1 Cor. 6, 20 ), et il le traitera comme consacré au Seigneur, sans idolâtrie comme sans négligence, en rendant grâces.
Vous travaillez, de la main ou de l’esprit, aux champs ou à l’atelier, au bureau ou au magasin, peu importe. Dans quel but ? Si c’est pour vous enrichir, votre travail est la pire des choses, car voyez en 1 Timothée 6, 9 ce qui est dit de « ceux qui veulent devenir riches ». D’autres font comme si le travail avait sa fin en soi, et c’est même une idée courante (mais fausse) que rien n’est plus noble qu’une vie consacrée au travail. À l’opposé, combien, surtout de nos jours, estiment en avoir toujours trop fait pour ce qu’ils gagnent ? Apprenons donc à voir dans notre travail quotidien un moyen de servir le Seigneur, accomplissons notre tâche pour Lui avec le sentiment reconnaissant que c’est par là qu’Il subvient à nos besoins, à ceux de notre famille, et qu’Il nous met à même de « faire du bien à tous, mais surtout à ceux de la maison de la foi » (Gal. 6, 10 ). Ne nous y trompons pas, tout autre motif fausse notre existence et déprécie notre ouvrage. Gagner sa vie est honorable devant Dieu, travailler pour se faire une fortune ou un nom est méprisable. « Faites tout au nom du Seigneur… tout à la gloire de Dieu ».
Cette même règle très simple s’applique à quoi que ce soit de notre activité. Beaucoup d’entre nous poursuivent en ce moment qui un apprentissage, qui des études en vue de la profession que vous pensez exercer. Cela est très légitime en soi, et nécessaire ; mais par-delà la profession, ou plutôt par elle, vous avez à servir le Seigneur, et c’est seulement en ayant ce but devant vous que vous pourrez utilement vous instruire, vous former, vous cultiver.
Oh, il ne s’agit pas de vous placer sous une loi. Vous la trouveriez avec raison dure et inapplicable. Mais que Christ possède réellement votre cœur, qu’Il soit tout pour vous, et tout vous sera facile. Il vous faudra peut-être rayer de votre activité bien des choses que vous auriez crues indispensables. Aux yeux du monde c’est un appauvrissement. Mais ne vous inquiétez pas, vous aurez sans cesse à ajouter un bien plus grand nombre d’autres choses, et propres à vous donner la vraie joie. La vie chrétienne n’est pas une vie diminuée, mais une vie démesurément enrichie. Christ vient illuminer d’un reflet céleste les plus banales choses d’ici-bas.
Laissez-Le orienter Lui-même votre cœur et votre esprit. Alors vous ne trierez pas entre les péchés grossiers et la multitude de ces choses « où il n’y a pas de mal », mais dont on ne saurait dire qu’on les fait par la foi et pour la gloire de Dieu. Embrasser telle carrière, assister à tel concert, lire tel livre, aller voir tel match, faire telle excursion, conclure telle affaire avantageuse, que sert de discuter là-dessus ? Ou vous le faites pour le Seigneur, en rendant grâces à Dieu le Père, ou vous ne le pouvez pas, et vous laissez délibérément le Seigneur de côté. N’attendez pas d’avoir dix ans ou vingt ans de plus pour dire déjà : Quel temps j’ai perdu ! Vous lui donnerez son prix, à ce temps qui fuit si vite, en l’employant tout pour le Seigneur.
Proverbes 23 ◊ 1 Quand tu t’assieds pour manger le pain avec un gouverneur, considère bien celui qui est devant toi ; ◊ 2 et mets un couteau à ta gorge, si tu es gourmand. ◊ 3 Ne désire point ses friandises, car c’est un pain trompeur.
◊ 4 Ne te fatigue pas pour acquérir des richesses, finis-en avec ta prudence. ◊ 5 Jetteras-tu tes yeux sur elles ?… Déjà elles ne sont plus ; car certes elles se font des ailes, et, comme l’aigle, s’envolent vers les cieux.
◊ 6 Ne mange point le pain de celui qui a l’œil mauvais, et ne désire pas ses friandises ; ◊ 7 car comme il a pensé dans son âme, tel il est. Mange et bois, te dira-t-il ; mais son cœur n’est pas avec toi. ◊ 8 Ton morceau que tu as mangé, tu le vomiras, et tu perdras tes paroles agréables.
◊ 9 Ne parle pas aux oreilles du sot, car il méprisera la sagesse de ton discours.
◊ 10 Ne recule pas la borne ancienne, et n’entre pas dans les champs des orphelins ; ◊ 11 car leur rédempteur est fort, il prendra en main leur cause contre toi.
◊ 12 Applique ton cœur à l’instruction et tes oreilles aux paroles de la connaissance.
◊ 13 Ne manque pas de corriger le jeune garçon ; quand tu l’auras frappé de la verge, il n’en mourra pas. ◊ 14 Tu le frapperas de la verge, mais tu délivreras son âme du shéol.
◊ 15 Mon fils, si ton cœur est sage, mon cœur s’en réjouira, oui, moi-même, ◊ 16 et mes reins s’égayeront quand tes lèvres diront des choses droites.
◊ 17 Que ton cœur n’envie pas les méchants ; mais sois tout le jour dans la crainte de l’Éternel ; ◊ 18 car certainement il y a une fin, et ton attente ne sera pas réduite à néant.
◊ 19 Toi, mon fils, écoute et sois sage, et dirige ton cœur dans le chemin. ◊ 20 Ne sois pas parmi les buveurs de vin, ni parmi les gourmands ; ◊ 21 car le buveur et le gourmand deviendront pauvres, et sommeiller revêt de haillons.
◊ 22 Écoute ton père qui t’a engendré, et ne méprise pas ta mère quand elle aura vieilli.
◊ 23 Achète la vérité, et ne la vends point, — la sagesse, et l’instruction, et l’intelligence.
◊ 24 Le père du juste aura beaucoup de joie, et celui qui a engendré le sage, se réjouira en lui. ◊ 25 Que ton père et ta mère se réjouissent, et que celle qui t’a enfanté ait de la joie.
◊ 26 Mon fils, donne-moi ton cœur, et que tes yeux se plaisent à mes voies ; ◊ 27 car la prostituée est une fosse profonde, et l’étrangère un puits de détresse : ◊ 28 aussi se tient-elle aux embûches comme un voleur, et elle augmente le nombre des perfides parmi les hommes.
◊ 29 Pour qui les : Hélas ? Pour qui les : Malheur à moi ? Pour qui les querelles, pour qui la plainte, pour qui les blessures sans cause ? Pour qui la rougeur des yeux ? ◊ 30 Pour ceux qui s’attardent auprès du vin, qui vont essayer le vin mixtionné. ◊ 31 — Ne regarde pas le vin quand il est vermeil, quand il est perlé dans la coupe, et qu’il coule aisément ; ◊ 32 à la fin, il mord comme un serpent et il pique comme une vipère : ◊ 33 tes yeux regarderont les étrangères, et ton cœur dira des choses perverses ; ◊ 34 et tu seras comme celui qui se coucherait au cœur de la mer, et comme celui qui se coucherait au sommet d’un mât… ◊ 35 On m’a frappé, [et] je n’en ai point été malade ; on m’a battu, [et] je ne l’ai pas su. Quand me réveillerai-je ? J’y reviendrai, je le rechercherai encore !
1 Corinthiens 6 ◊ 1 Quelqu’un de vous, lorsqu’il a une affaire avec un autre, ose-t-il entrer en procès devant les injustes et non devant les saints ? ◊ 2 Ne savez-vous pas que les saints jugeront le monde ? Et si le monde est jugé par vous, êtes-vous indignes des plus petits jugements ? ◊ 3 Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? et [nous ne jugerions] pas les affaires de cette vie ? ◊ 4 Si donc vous avez des procès pour les affaires de cette vie, établissez ceux-là [pour juges] qui sont peu estimés dans l’assemblée. ◊ 5 Je parle pour vous faire honte : ainsi il n’y a pas d’[homme] sage parmi vous, pas même un seul, qui soit capable de décider entre ses frères ? ◊ 6 Mais un frère entre en procès avec un frère, et cela devant les incrédules. ◊ 7 C’est donc de toute manière déjà une faute en vous, que vous ayez des procès entre vous. Pourquoi ne supportez-vous pas plutôt des injustices ? pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt faire tort ? ◊ 8 Mais vous, vous faites des injustices et vous faites tort, et cela à vos frères. ◊ 9 Ne savez-vous pas que les injustes n’hériteront point du royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : ni fornicateurs, ni idolâtres, ni adultères, ni efféminés, ni ceux qui abusent d’eux-mêmes avec des hommes, ◊ 10 ni voleurs, ni avares, ni ivrognes, ni outrageux, ni ravisseurs, n’hériteront du royaume de Dieu. ◊ 11 Et quelques-uns de vous, vous étiez tels ; mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du seigneur Jésus, et par l’Esprit de notre Dieu.
◊ 12 Toutes choses me sont permises, mais toutes choses ne sont pas avantageuses ; toutes choses me sont permises, mais je ne me laisserai, moi, asservir par aucune. ◊ 13 Les viandes pour l’estomac, et l’estomac pour les viandes ; mais Dieu mettra à néant et celui-ci et celles-là.
Or le corps n’est pas pour la fornication, mais pour le Seigneur, et le Seigneur pour le corps. ◊ 14 Mais Dieu a ressuscité le Seigneur, et il nous ressuscitera par sa puissance. ◊ 15 Ne savez-vous pas que vos corps sont des membres de Christ ? Prendrai-je donc les membres du Christ pour en faire les membres d’une prostituée ? Qu’ainsi n’advienne ! ◊ 16 Ne savez-vous pas que celui qui est uni à une prostituée est un seul corps [avec elle] ? « Car les deux, dit-il, seront une seule chair » ; ◊ 17 mais celui qui est uni au Seigneur est un seul esprit [avec lui]. ◊ 18 Fuyez la fornication : quelque péché que l’homme commette, il est hors du corps, mais le fornicateur pèche contre son propre corps. ◊ 19 Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, et que vous avez de Dieu ? Et vous n’êtes pas à vous-mêmes ; ◊ 20 car vous avez été achetés à prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps.
Colossiens 3 ◊ 1 Si donc vous avez été ressuscités avec le Christ, cherchez les choses qui sont en haut, où le Christ est assis à la droite de Dieu ; ◊ 2 pensez aux choses qui sont en haut, non pas à celles qui sont sur la terre ; ◊ 3 car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec le Christ en Dieu. ◊ 4 Quand le Christ qui est notre vie, sera manifesté, alors vous aussi, vous serez manifestés avec lui en gloire.
◊ 5 Mortifiez donc vos membres qui sont sur la terre, la fornication, l’impureté, les affections déréglées, la mauvaise convoitise, et la cupidité, qui est de l’idolâtrie ; ◊ 6 à cause desquelles la colère de Dieu vient sur les fils de la désobéissance ; ◊ 7 parmi lesquels vous aussi vous avez marché autrefois, quand vous viviez dans ces choses.
◊ 8 Mais maintenant, renoncez, vous aussi, à toutes ces choses : colère, courroux, malice, injures, paroles honteuses venant de votre bouche. ◊ 9 Ne mentez point l’un à l’autre, ayant dépouillé le vieil homme avec ses actions ◊ 10 et ayant revêtu le nouvel [homme] qui est renouvelé en connaissance, selon [l’]image de celui qui l’a créé, ◊ 11 où il n’y a pas Grec et Juif, circoncision et incirconcision, barbare, Scythe, esclave, homme libre ; mais où Christ est tout et en tous.
◊ 12 Revêtez-vous donc, comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés, d’entrailles de miséricorde, de bonté, d’humilité, de douceur, de longanimité, ◊ 13 vous supportant l’un l’autre et vous pardonnant les uns aux autres, si l’un a un sujet de plainte contre un autre ; comme aussi le Christ vous a pardonné, vous aussi [faites] de même. ◊ 14 Et par-dessus toutes ces choses, [revêtez-vous] de l’amour, qui est le lien de la perfection. ◊ 15 Et que la paix du Christ, à laquelle aussi vous avez été appelés en un seul corps, préside dans vos cœurs ; et soyez reconnaissants.
◊ 16 Que la parole du Christ habite en vous richement, — en toute sagesse vous enseignant et vous exhortant l’un l’autre, par des psaumes, des hymnes, des cantiques spirituels, chantant de vos cœurs à Dieu dans [un esprit de] grâce. ◊ 17 Et quelque chose que vous fassiez, en parole ou en œuvre, [faites] tout au nom du seigneur Jésus, rendant grâces par lui à Dieu le Père.
◊ 18 Femmes, soyez soumises à vos maris, comme il convient dans le Seigneur. ◊ 19 Maris, aimez vos femmes et ne vous aigrissez pas contre elles. ◊ 20 Enfants, obéissez à vos parents en toutes choses, car cela est agréable dans le Seigneur. ◊ 21 Pères, n’irritez pas vos enfants, afin qu’ils ne soient pas découragés. ◊ 22 Esclaves, obéissez en toutes choses à vos maîtres selon la chair, ne servant pas sous leurs yeux seulement, comme voulant plaire aux hommes, mais en simplicité de cœur, craignant le Seigneur. ◊ 23 Quoi que vous fassiez, faites-[le] de cœur, comme pour le Seigneur et non pour les hommes, ◊ 24 sachant que du Seigneur vous recevrez la récompense de l’héritage : vous servez le seigneur Christ. ◊ 25 Car celui qui agit injustement, recevra ce qu’il aura fait injustement ; et il n’y a pas d’acception de personnes.
Romains 14 ◊ 1 Or quant à celui qui est faible en foi, recevez-le ; non pas pour la décision de questions [douteuses]. ◊ 2 L’un croit pouvoir manger de toutes choses ; l’autre qui est faible, mange des herbes : ◊ 3 que celui qui mange ne méprise pas celui qui ne mange pas ; et que celui qui ne mange pas ne juge pas celui qui mange, car Dieu l’a reçu. ◊ 4 Qui es-tu, toi qui juges le domestique d’autrui ? Il se tient debout ou il tombe pour son propre maître ; et il sera tenu debout, car le Seigneur est puissant pour le tenir debout. ◊ 5 L’un estime un jour plus qu’un autre jour, et l’autre estime tous les jours [égaux] : que chacun soit pleinement persuadé dans son propre esprit. ◊ 6 Celui qui a égard au jour, y a égard à cause du Seigneur ; et celui qui mange, mange à cause du Seigneur, car il rend grâces à Dieu ; et celui qui ne mange pas, ne mange pas à cause du Seigneur, et il rend grâces à Dieu. ◊ 7 Car nul de nous ne vit ayant égard à lui-même, et nul ne meurt ayant égard à lui-même : ◊ 8 mais soit que nous vivions, nous vivons ayant égard au Seigneur, soit que nous mourions, nous mourons ayant égard au Seigneur ; soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes du Seigneur. ◊ 9 Car c’est pour cela que Christ est mort et qu’il a revécu, afin qu’il dominât et sur les morts et sur les vivants. ◊ 10 Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère ? Ou aussi toi, pourquoi méprises-tu ton frère ? Car nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu ; ◊ 11 car il est écrit : « Je suis vivant, dit le *Seigneur, que tout genou se ploiera devant moi, et que toute langue confessera hautement Dieu ». ◊ 12 Ainsi donc, chacun de nous rendra compte pour lui-même à Dieu. ◊ 13 Ne nous jugeons donc plus l’un l’autre ; mais jugez plutôt ceci, de ne pas mettre une pierre d’achoppement ou une occasion de chute devant votre frère. ◊ 14 Je sais, et je suis persuadé dans le seigneur Jésus, que rien n’est souillé par soi-même, sauf qu’à celui qui croit qu’une chose est souillée, elle lui est souillée. ◊ 15 Car si, à cause d’une viande, ton frère est attristé, tu ne marches plus selon l’amour. Ne détruis pas par ta viande celui pour lequel Christ est mort. ◊ 16 Que ce qui est bien en vous ne soit donc pas blâmé. ◊ 17 Car le royaume de Dieu n’est pas manger et boire, mais justice, et paix, et joie dans l’Esprit Saint. ◊ 18 Car celui qui en cela sert le Christ est agréable à Dieu et approuvé des hommes.
◊ 19 Ainsi donc poursuivons les choses qui tendent à la paix et celles qui tendent à l’édification mutuelle. ◊ 20 À cause d’une viande, ne détruis pas l’œuvre de Dieu. Toutes choses, il est vrai, sont pures ; mais il y a du mal pour l’homme qui mange en bronchant. ◊ 21 Il est bon de ne pas manger de chair, de ne pas boire de vin, et de ne [faire aucune chose] en laquelle ton frère bronche, ou est scandalisé, ou est faible. ◊ 22 Toi, tu as de la foi ; aie-la par-devers toi-même devant Dieu ; bienheureux est celui qui ne se juge pas lui-même en ce qu’il approuve ; ◊ 23 mais celui qui hésite, s’il mange, est condamné, parce qu’[il n’agit] pas sur un principe de foi. Or tout ce qui n’est pas sur le principe de la foi est péché.
Galates 6 ◊ 1 Frères, quand même un homme s’est laissé surprendre par quelque faute, vous qui êtes spirituels, redressez un tel homme dans un esprit de douceur, prenant garde à toi-même, de peur que toi aussi tu ne sois tenté.
◊ 2 Portez les charges les uns des autres, et ainsi accomplissez la loi du Christ ; ◊ 3 car si, n’étant rien, quelqu’un pense être quelque chose, il se séduit lui-même ; ◊ 4 mais que chacun éprouve sa propre œuvre, et alors il aura de quoi se glorifier, relativement à lui-même seulement et non relativement à autrui : ◊ 5 car chacun portera son propre fardeau.
◊ 6 Que celui qui est enseigné dans la parole fasse participer à tous les biens [temporels] celui qui enseigne.
◊ 7 Ne soyez pas séduits ; on ne se moque pas de Dieu ; car ce qu’un homme sème, cela aussi il le moissonnera. ◊ 8 Car celui qui sème pour sa propre chair moissonnera de la chair la corruption ; mais celui qui sème pour l’Esprit moissonnera de l’Esprit la vie éternelle. ◊ 9 Or ne nous lassons pas en faisant le bien, car, au temps propre, nous moissonnerons, si nous ne défaillons pas. ◊ 10 Ainsi donc, comme nous en avons l’occasion, faisons du bien à tous, mais surtout à ceux de la maison de la foi.
◊ 11 Vous voyez quelle longue lettre je vous ai écrite de ma propre main. ◊ 12 Tous ceux qui veulent avoir une belle apparence dans la chair, ceux-là vous contraignent à être circoncis, seulement afin qu’ils ne soient pas persécutés à cause de la croix de Christ. ◊ 13 Car ceux-là qui sont circoncis, eux-mêmes ne gardent pas [la] loi ; mais ils veulent que vous soyez circoncis, afin de se glorifier dans votre chair. ◊ 14 Mais qu’il ne m’arrive pas à moi de me glorifier, sinon en la croix de notre seigneur Jésus Christ, par laquelle le monde m’est crucifié, et moi au monde. ◊ 15 Car ni la circoncision, ni l’incirconcision ne sont rien, mais une nouvelle création. ◊ 16 Et à l’égard de tous ceux qui marcheront selon cette règle, paix et miséricorde sur eux et sur l’Israël de Dieu !
◊ 17 Désormais que personne ne vienne me troubler, car moi je porte en mon corps les marques du seigneur Jésus. ◊ 18 Que la grâce de notre seigneur Jésus Christ soit avec votre esprit, frères ! Amen.
Hébreux 9 ◊ 1 La première donc avait aussi des ordonnances pour le culte, et le sanctuaire, un [sanctuaire] terrestre. ◊ 2 Car un tabernacle fut construit, — le premier, qui est appelé saint, dans lequel était le chandelier, et la table, et la proposition des pains ; ◊ 3 et, après le second voile, un tabernacle qui est appelé saint des saints, ◊ 4 ayant l’encensoir d’or, et l’arche de l’alliance entièrement couverte d’or tout autour, dans laquelle était la cruche d’or qui renfermait la manne, et la verge d’Aaron qui avait bourgeonné, et les tables de l’alliance ; ◊ 5 et, au-dessus de l’arche, des chérubins de gloire ombrageant le propitiatoire ; sur quoi nous n’avons pas à parler dans ce moment en détail.
◊ 6 Or ces choses étant ainsi disposées, les sacrificateurs entrent constamment dans le premier tabernacle, accomplissant le service ; ◊ 7 mais, dans le second, le seul souverain sacrificateur, une fois l’an, non sans du sang qu’il offre pour lui-même et pour les fautes du peuple, ◊ 8 l’Esprit Saint indiquant ceci : le chemin des lieux saints n’a pas encore été manifesté, tandis que le premier tabernacle a encore sa place, ◊ 9 lequel est une figure pour le temps présent, dans lequel sont offerts des dons et des sacrifices qui ne peuvent pas rendre parfait quant à la conscience celui qui rend le culte, ◊ 10 [culte qui consiste] seulement en viandes, en breuvages, en diverses ablutions, ordonnances charnelles imposées jusqu’au temps du redressement. ◊ 11 Mais Christ étant venu, souverain sacrificateur des biens à venir, par le tabernacle plus grand et plus parfait qui n’est pas fait de main, c’est-à-dire qui n’est pas de cette création, ◊ 12 et non avec le sang de boucs et de veaux, mais avec son propre sang, est entré une fois pour toutes dans les lieux saints, ayant obtenu une rédemption éternelle. ◊ 13 Car si le sang de boucs et de taureaux, — et la cendre d’une génisse avec laquelle on fait aspersion sur ceux qui sont souillés, — sanctifie pour la pureté de la chair, ◊ 14 combien plus le sang du Christ, qui, par l’Esprit éternel, s’est offert lui-même à Dieu sans tache, purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes, pour que vous serviez le Dieu vivant ! ◊ 15 Et c’est pourquoi il est médiateur d’une nouvelle alliance, en sorte que, la mort étant intervenue pour la rançon des transgressions qui étaient sous la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l’héritage éternel qui a été promis. ◊ 16 (Car là où il y a un testament, il est nécessaire que la mort du testateur intervienne ; ◊ 17 car un testament est valide lorsque la mort est intervenue, puisqu’il n’a pas de force tant que le testateur vit.) ◊ 18 De là vient qu’aussi la première [alliance] n’a pas été inaugurée sans du sang. ◊ 19 Car chaque commandement, pour ce qui concerne la loi, ayant été proclamé par Moïse à tout le peuple, il prit le sang des veaux et des boucs, avec de l’eau et de la laine écarlate et de l’hysope, et en fit aspersion sur le livre lui-même et sur tout le peuple, ◊ 20 en disant : « C’est ici le sang de l’alliance que Dieu vous a ordonnée ». ◊ 21 Et, de la même manière, il fit aspersion du sang sur le tabernacle aussi et sur tous les ustensiles du service. ◊ 22 Et presque toutes choses sont purifiées par du sang, selon la loi ; et sans effusion de sang il n’y a pas de rémission. ◊ 23 Il était donc nécessaire que les images des choses qui sont dans les cieux fussent purifiées par de telles choses, mais que les choses célestes elles-mêmes le fussent par de meilleurs sacrifices que ceux-là. ◊ 24 Car le Christ n’est pas entré dans des lieux saints faits de main, copies des vrais, mais dans le ciel même, afin de paraître maintenant pour nous devant la face de Dieu, ◊ 25 — ni, non plus, afin de s’offrir lui-même plusieurs fois, ainsi que le souverain sacrificateur entre dans les lieux saints chaque année avec un sang autre [que le sien] ◊ 26 (puisque [dans ce cas] il aurait fallu qu’il souffrît plusieurs fois depuis la fondation du monde) ; mais maintenant, en la consommation des siècles, il a été manifesté une fois pour l’abolition du péché par son sacrifice. ◊ 27 Et comme il est réservé aux hommes de mourir une fois, — et après cela [le] jugement, ◊ 28 ainsi le Christ aussi, ayant été offert une fois pour porter les péchés de plusieurs, apparaîtra une seconde fois, sans péché, à salut à ceux qui l’attendent.
1 Timothée 6 ◊ 1 Que tous les esclaves qui sont sous le joug estiment leurs propres maîtres dignes de tout honneur, afin que le nom de Dieu et la doctrine ne soient pas blasphémés ; ◊ 2 et que ceux qui ont des maîtres croyants ne les méprisent pas parce qu’ils sont frères, mais qu’ils les servent d’autant plus que ceux qui profitent de leur bon et prompt service sont des fidèles et des bien-aimés. Enseigne ces choses et exhorte. ◊ 3 Si quelqu’un enseigne autrement et ne se range pas à de saines paroles, [savoir] à celles de notre seigneur Jésus Christ et à la doctrine qui est selon la piété, ◊ 4 il est enflé d’orgueil, ne sachant rien, mais ayant la maladie des questions et des disputes de mots, d’où naissent l’envie, les querelles, les paroles injurieuses, les mauvais soupçons, ◊ 5 les vaines disputes d’hommes corrompus dans leur entendement et privés de la vérité, qui estiment que la piété est une source de gain. ◊ 6 Or la piété avec le contentement est un grand gain. ◊ 7 Car nous n’avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n’en pouvons rien emporter. ◊ 8 Mais ayant la nourriture et de quoi nous couvrir, nous serons satisfaits. ◊ 9 Or ceux qui veulent devenir riches tombent dans la tentation et dans un piège, et dans plusieurs désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition ; ◊ 10 car c’est une racine de toutes sortes de maux que l’amour de l’argent : ce que quelques-uns ayant ambitionné, ils se sont égarés de la foi et se sont transpercés eux-mêmes de beaucoup de douleurs. ◊ 11 Mais toi, ô homme de Dieu, fuis ces choses, et poursuis la justice, la piété, la foi, l’amour, la patience, la douceur d’esprit ; ◊ 12 combats le bon combat de la foi ; saisis la vie éternelle, pour laquelle tu as été appelé et tu as fait la belle confession devant beaucoup de témoins. ◊ 13 Je t’ordonne devant Dieu qui appelle toutes choses à l’existence, et devant le christ Jésus qui a fait la belle confession devant Ponce Pilate, ◊ 14 que tu gardes ce commandement, sans tache, irrépréhensible, jusqu’à l’apparition de notre seigneur Jésus Christ, ◊ 15 laquelle le bienheureux et seul Souverain, le roi de ceux qui règnent et le seigneur de ceux qui dominent, montrera au temps propre, ◊ 16 lui qui seul possède l’immortalité, qui habite la lumière inaccessible, lequel aucun des hommes n’a vu, ni ne peut voir, — auquel soit honneur et force éternelle ! Amen.
◊ 17 Ordonne à ceux qui sont riches dans le présent siècle, qu’ils ne soient pas hautains et qu’ils ne mettent pas leur confiance dans l’incertitude des richesses, mais dans le Dieu qui nous donne toutes choses richement pour en jouir ; ◊ 18 qu’ils fassent du bien ; qu’ils soient riches en bonnes œuvres ; qu’ils soient prompts à donner, libéraux, ◊ 19 s’amassant comme trésor un bon fondement pour l’avenir, afin qu’ils saisissent ce qui est vraiment la vie.
◊ 20 Ô Timothée, garde ce qui t’a été confié, fuyant les discours vains et profanes et l’opposition de la connaissance faussement ainsi nommée, ◊ 21 de laquelle quelques-uns faisant profession, se sont écartés de la foi. Que la grâce soit avec toi !
1 Corinthiens 10 ◊ 1 Car je ne veux pas que vous ignoriez, frères, que nos pères ont tous été sous la nuée, et que tous ils ont passé à travers la mer, ◊ 2 et que tous ils ont été baptisés pour Moïse dans la nuée et dans la mer, ◊ 3 et que tous ils ont mangé la même viande spirituelle, ◊ 4 et que tous ils ont bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient d’un rocher spirituel qui les suivait : et le rocher était le Christ. ◊ 5 Mais Dieu n’a point pris plaisir en la plupart d’entre eux, car ils tombèrent dans le désert. ◊ 6 Or ces choses arrivèrent comme types de ce qui nous concerne, afin que nous ne convoitions pas des choses mauvaises, comme ceux-là aussi ont convoité. ◊ 7 Ne soyez pas non plus idolâtres, comme quelques-uns d’eux, ainsi qu’il est écrit : « Le peuple s’assit pour manger et pour boire, et ils se levèrent pour jouer ». ◊ 8 Ne commettons pas non plus la fornication, comme quelques-uns d’eux ont commis la fornication, et il en est tombé en un seul jour vingt-trois mille. ◊ 9 Ne tentons pas non plus le Christ, comme quelques-uns d’eux l’ont tenté et ont péri par les serpents. ◊ 10 Ne murmurez pas non plus, comme quelques-uns d’eux ont murmuré et ont péri par le destructeur. ◊ 11 Or toutes ces choses leur arrivèrent comme types, et elles ont été écrites pour nous servir d’avertissement, à nous que les fins des siècles ont atteints. ◊ 12 Ainsi, que celui qui croit être debout prenne garde qu’il ne tombe. ◊ 13 Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été une tentation humaine ; et Dieu est fidèle, qui ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de ce que vous pouvez [supporter], mais avec la tentation il fera aussi l’issue, afin que vous puissiez la supporter.
◊ 14 C’est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l’idolâtrie. ◊ 15 Je parle comme à des personnes intelligentes : jugez vous-mêmes de ce que je dis. ◊ 16 La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas la communion du sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion du corps du Christ ? ◊ 17 Car nous qui sommes plusieurs, sommes un seul pain, un seul corps, car nous participons tous à un seul et même pain. ◊ 18 Considérez l’Israël selon la chair : ceux qui mangent les sacrifices n’ont-ils pas communion avec l’autel ? ◊ 19 Que dis-je donc ? que ce qui est sacrifié à une idole soit quelque chose ? ou qu’une idole soit quelque chose ? ◊ 20 [Non], mais que les choses que les nations sacrifient, elles les sacrifient à des démons et non pas à Dieu : or je ne veux pas que vous ayez communion avec les démons. ◊ 21 Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur et la coupe des démons ; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur et à la table des démons. ◊ 22 Provoquons-nous le Seigneur à la jalousie ? Sommes-nous plus forts que lui ?
◊ 23 Toutes choses sont permises, mais toutes choses ne sont pas avantageuses ; toutes choses sont permises, mais toutes choses n’édifient pas. ◊ 24 Que personne ne cherche son propre intérêt, mais celui d’autrui. ◊ 25 Mangez de tout ce qui se vend à la boucherie, sans vous enquérir de rien à cause de la conscience : ◊ 26 « car la terre est au *Seigneur, et tout ce qu’elle contient ». ◊ 27 Or si quelqu’un des incrédules vous convie, et que vous vouliez aller, mangez de tout ce qui est mis devant vous, sans vous enquérir de rien à cause de la conscience. ◊ 28 Mais si quelqu’un vous dit : Ceci a été offert en sacrifice, — n’en mangez pas, à cause de celui qui vous a avertis, et à cause de la conscience. ◊ 29 Or je dis : la conscience, non la tienne, mais celle de l’autre ; car pourquoi ma liberté est-elle jugée par la conscience d’autrui ? ◊ 30 Si moi, je participe avec action de grâces, pourquoi suis-je blâmé pour une chose dont moi je rends grâces ? ◊ 31 Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, ou quoi que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu. ◊ 32 Ne devenez une cause d’achoppement ni aux Juifs, ni aux Grecs, ni à l’assemblée de Dieu ; ◊ 33 comme moi aussi je complais à tous en toutes choses, ne cherchant pas mon avantage propre, mais celui du grand nombre, afin qu’ils soient sauvés.