Que deviendrait dans sa faiblesse 
Ton racheté, 
S’il ne pouvait, dans sa détresse, 
Être abrité 
Par ton amour toujours fidèle, 
Dieu de bonté, 
Et vivre à l’ombre de ton aile, 
En sûreté ?
Il est étranger sur la terre 
Mais ne craint pas. 
Le Dieu d’amour et de lumière 
Conduit ses pas. 
Et ta merveilleuse présence, 
Ô cher Sauveur ! 
Est son appui quand la souffrance 
Étreint son cœur.
S’il traverse les eaux profondes, 
C’est avec toi ; 
La douce paix dont tu l’inondes 
Soutient sa foi. 
Quel bonheur quand auprès du Père 
Il te verra, 
Et, face à face, en ta lumière, 
T’adorera !