Tes paroles, toujours fidèles,
Seigneur, ne passeront jamais ;
Et mon âme qui croit en elles,
N’a rien à craindre désormais.
Je le sais, ô douce pensée !
Oui, je le sais, de tes brebis
Nulle ne sera délaissée :
Puissant Berger, tu l’as promis.
Objets de ton amour suprême,
Elles reposent dans ton sein ;
Ni le monde, ni l’enfer même,
Ne les raviront de ta main.