Le service

Puisse notre travail être une œuvre de foi et tirer sa force, son existence même, de notre communion avec Dieu notre Père. Puisse-t-il, à chaque moment, procéder de la contemplation des choses invisibles, de la vie qui vit dans l’assurance immuable de la vérité et de la Parole, et porter ainsi l’empreinte de la grâce et de la vérité venues par Jésus Christ [Jean 1, 17], et en être le témoignage.

*
*    *

L’activité préserve de bien des tentations, mais elle peut endurcir le cœur quand on ne se tient pas dans la présence de Dieu et que le cœur ne se juge pas.

*
*    *

Ne travaillons pas au-delà de notre communion.

*
*    *

Nous sommes les domestiques de la foi. Ce que nous ne pouvons faire pour Jésus, nous ne pouvons pas le faire du tout. C’est une loi très dure pour la chair. Nous sommes ou les affranchis de Dieu, ou les esclaves de Satan.

*
*    *

L’œuvre cachée est la plus belle, la plus près de Dieu et de Son cœur, la plus entièrement à Lui ; Il la reconnaîtra telle au jour où Il manifestera ce qu’Il aura donné et approuvé.

*
*    *

Si nous ne sommes pas pour Christ, nous sommes contre Lui ; ne rien faire pour Christ, c’est servir Satan.

*
*    *

Travailler sans reproche, n’est pas le travail des chrétiens fidèles ; il faut passer par la bonne et la mauvaise réputation. Nous sommes heureux si Dieu et notre conscience ne nous font point de reproche. Malheur à vous si tout le monde dit du bien de vous !

*
*    *

Quel privilège pour nous d’appartenir à Dieu seul et de Le servir de tout notre cœur !