Modifications

Sauter à la navigation Sauter à la recherche
Ajout des balises d’entête
Ligne 1 : Ligne 1 :  +
Catégorie:à lire]]
 
{{SujetPass|Jos2|186002^Messager Évangélique}}
 
{{SujetPass|Jos2|186002^Messager Évangélique}}
 
{{SujetPass|Heb11 v. 31|186002^Messager Évangélique}}
 
{{SujetPass|Heb11 v. 31|186002^Messager Évangélique}}
 
{{Sujet|Rahab|186002^Messager Évangélique}}
 
{{Sujet|Rahab|186002^Messager Évangélique}}
 
{{Titre|La foi de Rahab|M.E. 1860 - La foi de Rahab}}
 
{{Titre|La foi de Rahab|M.E. 1860 - La foi de Rahab}}
<noinclude>{{Descriptif
+
{{Descriptif
 
|sous-titre={{Pass|Josué 2|Jos2}} et {{Pass|Hébreux 11, 31|Heb11v31}}
 
|sous-titre={{Pass|Josué 2|Jos2}} et {{Pass|Hébreux 11, 31|Heb11v31}}
 
<br />''Extrait d’une lettre''
 
<br />''Extrait d’une lettre''
}}</noinclude>
+
}}<noinclude>{{Description|Article du Messager Évangélique sur Rahab et la manifestation de sa foi|Rahab,foi,Josué 2,Hébreux 11 v. 31,Messager Évangélique}}</noinclude>
 
{{RefME|1860|76-78}}
 
{{RefME|1860|76-78}}
 
Une ''nouvelle'' arrive à Jéricho — tous l’entendent ; Rahab seule la ''croit''. Cette nouvelle est mêlée en elle avec de la foi. Elle n’avait pourtant pas plus de preuves de sa vérité que les autres, néanmoins elle crut. Il y a de la puissance dans la Parole de Dieu. Tous devraient la croire, parce qu’elle est la Parole de Dieu. Il n’est personne qui ne se laisse influencer par la parole des hommes et qui ne reçoive leur témoignage. Si nous nous trouvions dans un wagon de chemin de fer, et qu’un employé vînt à la portière et nous criât : « Cette voiture ne partira pas avec le train, vous ferez bien de monter dans une autre », à l’instant même nous nous hâterions d’en sortir. Personne n’aurait l’idée de dire : « Ce n’est pas à ''moi'' qu’il s’adresse, je resterai assis ici jusqu’à ce qu’il me parle directement à moi-même ». Il en est ainsi du témoignage de l’évangile. Il nous dit, au fond, que la voiture de la propre justice, des ordonnances, des cérémonies ou des prières, ne va pas au ciel. Il nous exhorte à quitter cette voiture pour entrer dans celle de {{Pass|la justice de Dieu, qui est par la foi en Jésus Christ|Rom3v22|a}}.
 
Une ''nouvelle'' arrive à Jéricho — tous l’entendent ; Rahab seule la ''croit''. Cette nouvelle est mêlée en elle avec de la foi. Elle n’avait pourtant pas plus de preuves de sa vérité que les autres, néanmoins elle crut. Il y a de la puissance dans la Parole de Dieu. Tous devraient la croire, parce qu’elle est la Parole de Dieu. Il n’est personne qui ne se laisse influencer par la parole des hommes et qui ne reçoive leur témoignage. Si nous nous trouvions dans un wagon de chemin de fer, et qu’un employé vînt à la portière et nous criât : « Cette voiture ne partira pas avec le train, vous ferez bien de monter dans une autre », à l’instant même nous nous hâterions d’en sortir. Personne n’aurait l’idée de dire : « Ce n’est pas à ''moi'' qu’il s’adresse, je resterai assis ici jusqu’à ce qu’il me parle directement à moi-même ». Il en est ainsi du témoignage de l’évangile. Il nous dit, au fond, que la voiture de la propre justice, des ordonnances, des cérémonies ou des prières, ne va pas au ciel. Il nous exhorte à quitter cette voiture pour entrer dans celle de {{Pass|la justice de Dieu, qui est par la foi en Jésus Christ|Rom3v22|a}}.
    
Rahab crut et fut sauvée. Elle montre sa foi en cachant les deux hommes. Sa maison devint le seul lieu de sûreté dans toute la ville condamnée. Il y avait sécurité parfaite pour tous ceux qui étaient dans cette maison, sous la sauvegarde du {{Pass|« cordon écarlate »|Jos2v21|a}} ; ils n’avaient pas plus à craindre que s’ils eussent déjà été au milieu des troupes victorieuses d’Israël, quoique la maison fût {{Pass|« sur la muraille »|Jos2v15|a}} — c’est-à-dire, sur ce qui devait tout d’abord s’écrouler. Rahab prit peine à réunir le plus grand nombre de personnes qu’elle put sous l’abri de ce signe assuré du salut. Sans doute, on pouvait lui dire : « Comment pouvez-vous me garantir que je serai en sûreté ? Comment un cordon de fil d’écarlate pourrait-il sauver un homme ? Un drapeau blanc ne vaudrait-il pas beaucoup mieux ? Ne devrions-nous pas envoyer une ambassade aux Israélites pour leur faire savoir que nous serons leurs tributaires ? ». Non ; venez ! entrez ! Il y a sûreté ici, et nulle part ailleurs. Tous ceux qui sont sous la protection du cordon écarlate sont dans toute la sécurité que Dieu lui-même peut donner. Si quelqu’un se trouvait hors des portes de cette maison, aucune puissance quelconque ne pourrait le sauver. Mais tous ceux qui se trouvaient ''dedans'' étaient en parfaite sûreté. Ils n’espéraient pas être en sûreté, ils ne priaient pas pour demander d’être sauvés ; ils n’étaient pas à moitié ou à peu près sauvés. Ils étaient ''sauvés''. « ''Nos vies'' répondront ''pour vous'' jusqu’à la mort », cette promesse mettait fin à toute espèce de doute ; et « la marque assurée » donnait une parfaite paix au cœur de ceux qui y avaient foi.
 
Rahab crut et fut sauvée. Elle montre sa foi en cachant les deux hommes. Sa maison devint le seul lieu de sûreté dans toute la ville condamnée. Il y avait sécurité parfaite pour tous ceux qui étaient dans cette maison, sous la sauvegarde du {{Pass|« cordon écarlate »|Jos2v21|a}} ; ils n’avaient pas plus à craindre que s’ils eussent déjà été au milieu des troupes victorieuses d’Israël, quoique la maison fût {{Pass|« sur la muraille »|Jos2v15|a}} — c’est-à-dire, sur ce qui devait tout d’abord s’écrouler. Rahab prit peine à réunir le plus grand nombre de personnes qu’elle put sous l’abri de ce signe assuré du salut. Sans doute, on pouvait lui dire : « Comment pouvez-vous me garantir que je serai en sûreté ? Comment un cordon de fil d’écarlate pourrait-il sauver un homme ? Un drapeau blanc ne vaudrait-il pas beaucoup mieux ? Ne devrions-nous pas envoyer une ambassade aux Israélites pour leur faire savoir que nous serons leurs tributaires ? ». Non ; venez ! entrez ! Il y a sûreté ici, et nulle part ailleurs. Tous ceux qui sont sous la protection du cordon écarlate sont dans toute la sécurité que Dieu lui-même peut donner. Si quelqu’un se trouvait hors des portes de cette maison, aucune puissance quelconque ne pourrait le sauver. Mais tous ceux qui se trouvaient ''dedans'' étaient en parfaite sûreté. Ils n’espéraient pas être en sûreté, ils ne priaient pas pour demander d’être sauvés ; ils n’étaient pas à moitié ou à peu près sauvés. Ils étaient ''sauvés''. « ''Nos vies'' répondront ''pour vous'' jusqu’à la mort », cette promesse mettait fin à toute espèce de doute ; et « la marque assurée » donnait une parfaite paix au cœur de ceux qui y avaient foi.
34 355

modifications

Menu de navigation