Ici, la position du juste devient critique — autour de lui tout est sombre — son âme est de toutes parts saisie de tristesse et la fournaise où sa foi est éprouvée est ardente. Toutefois, c’est le ''salut de Dieu'' qu’il attend, et cette délivrance occupe sa pensée, car la délivrance qui vient de l’homme n’est que vanité ! Mais la Parole de Dieu est seule une garantie pour l’âme, car elle est un ''rocher'' où la foi peut mettre le pied, au milieu de la tourmente qui environne le juste. | Ici, la position du juste devient critique — autour de lui tout est sombre — son âme est de toutes parts saisie de tristesse et la fournaise où sa foi est éprouvée est ardente. Toutefois, c’est le ''salut de Dieu'' qu’il attend, et cette délivrance occupe sa pensée, car la délivrance qui vient de l’homme n’est que vanité ! Mais la Parole de Dieu est seule une garantie pour l’âme, car elle est un ''rocher'' où la foi peut mettre le pied, au milieu de la tourmente qui environne le juste. |