Modifications

Celui donc qui s’y soumet et qui le garde, entre dans ce qui est plus excellent, savoir : dans les pensées de Dieu Lui-même. Pour nous, nous savons que {{Pass|« son commandement est la vie éternelle »|Jea12v50|a}} — qu’il est l’élément dans lequel la foi introduit nos cœurs. C’est ainsi que par la grâce de Dieu, nous passons, des choses visibles et passagères, à celles qui sont invisibles et éternelles.

Celui donc qui s’y soumet et qui le garde, entre dans ce qui est plus excellent, savoir : dans les pensées de Dieu Lui-même. Pour nous, nous savons que {{Pass|« son commandement est la vie éternelle »|Jea12v50|a}} — qu’il est l’élément dans lequel la foi introduit nos cœurs. C’est ainsi que par la grâce de Dieu, nous passons, des choses visibles et passagères, à celles qui sont invisibles et éternelles.

<includeonly>{{SujetPass|Psa119 v. 97-104|097^Messager Évangélique|Mem}}</includeonly>'''Mem'''. — {{Pass|v. 97|Psa119v97}}. « Oh ! combien j’aime ta loi ! C’est ce dont je m’entretiens tout le jour. »

<includeonly>{{SujetPass|Psa119 v. 97-104|me1860289^Messager Évangélique|Mem}}</includeonly>'''Mem'''. — {{Pass|v. 97|Psa119v97}}. « Oh ! combien j’aime ta loi ! C’est ce dont je m’entretiens tout le jour. »

Maintenant nous avons les ''effets pratiques'' de la loi dans le cœur. Tous, ils démontrent la supériorité morale du juste sur les méchants, quels que soient, du reste, les titres dont ils sont revêtus. Les paroles qui commencent ce verset révèlent une profondeur de sentiments qui édifie et fait ressortir le bien réel que l’âme du juste a reçu de la loi de son Dieu ; il faut donc qu’il exprime tout haut combien il l’aime ! Ce besoin de son cœur est facile à comprendre ; que de fois, par exemple, ne nous arrive-t-il pas, à la suite d’une lecture ou d’une méditation qui nous a fait du bien, de dire : quelles bonnes choses ! et de sentir un certain élan qui nous pousse vers le bien. Dans cet état de vraie jouissance, le juste considère en détail quels ont été les effets de la vérité en son cœur ; alors il dit :

Maintenant nous avons les ''effets pratiques'' de la loi dans le cœur. Tous, ils démontrent la supériorité morale du juste sur les méchants, quels que soient, du reste, les titres dont ils sont revêtus. Les paroles qui commencent ce verset révèlent une profondeur de sentiments qui édifie et fait ressortir le bien réel que l’âme du juste a reçu de la loi de son Dieu ; il faut donc qu’il exprime tout haut combien il l’aime ! Ce besoin de son cœur est facile à comprendre ; que de fois, par exemple, ne nous arrive-t-il pas, à la suite d’une lecture ou d’une méditation qui nous a fait du bien, de dire : quelles bonnes choses ! et de sentir un certain élan qui nous pousse vers le bien. Dans cet état de vraie jouissance, le juste considère en détail quels ont été les effets de la vérité en son cœur ; alors il dit :