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<noinclude>{{Titre|Ressources pour les « temps fâcheux » (partie 2)|M.E. 1863 - Ressources pour les « temps fâcheux » (2/{{../_NbPages}})}}</noinclude><noinclude>{{Navig|../Partie 1|../|../Partie 3}}
 
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<includeonly>{{SujetPass|DTi3 v. 15|1863049^Messager Évangélique|SaintesLettres}}
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</includeonly>III. — Cela nous amène naturellement à notre troisième point, savoir&nbsp;: « les saintes Écritures » — cette précieuse portion de tout homme de Dieu&nbsp;: « Mais toi, demeure dans les choses que tu as apprises et dont tu as été pleinement convaincu, sachant de qui tu les as apprises, et que dès ton enfance tu connais les saintes lettres qui peuvent te rendre sage à salut par la foi qui est dans le Christ Jésus. Toute Écriture est divinement inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et '''parfaitement''' accompli pour '''toute''' bonne œuvre » ({{Pass|3, 14-17|DTi3v14-17}}). Voilà, pour nous, une riche provision pour les « temps fâcheux ». Une vraie connaissance de celui « de qui nous avons appris » — une étude faite avec soin, une intelligence personnelle, expérimentale des « saintes lettres » — cette fontaine pure de l’autorité divine — cette source immuable de la céleste sagesse, que même ''un enfant'' peut posséder, et sans laquelle ''un sage'' s’égare. Si un homme ne peut pas rapporter toutes ses pensées, toutes ses convictions, tous ses principes, à Dieu comme à leur vivante source — à Christ comme à leur centre vivant, et aux « saintes Écritures » comme à leur divine autorité, il ne sera jamais en état de traverser les « temps fâcheux ». Une foi de seconde main ne suffira jamais à personne. Il faut que nous tenions la vérité directement de Dieu, par le moyen et sur l’autorité des « saintes Écritures ». Dieu peut se servir d’un homme pour me faire comprendre ou m’expliquer certaines choses dans Sa Parole ; néanmoins, ces choses, je ne les tiens pas de l’homme, mais de Dieu. C’est là savoir de ''qui'' on les a apprises ; et quand il en est ainsi, je suis capable, par grâce, de traverser, en sûreté, les plus profondes ténèbres et les chemins raboteux du désert de ce monde. La lampe de la céleste inspiration donne une lumière si claire, si belle, si sûre que les ténèbres environnantes n’ont d’autre effet que d’en faire ressortir plus distinctement la merveilleuse splendeur. « L’homme de Dieu » n’en est pas réduit à puiser aux ruisseaux fangeux qui coulent dans le canal de la tradition humaine ; mais ayant le vase d’une « foi sincère », il s’assied près de la source limpide et intarissable des « saintes lettres » pour s’abreuver de ses eaux rafraîchissantes, pour l’entière satisfaction de son âme altérée.
 
</includeonly>III. — Cela nous amène naturellement à notre troisième point, savoir&nbsp;: « les saintes Écritures » — cette précieuse portion de tout homme de Dieu&nbsp;: « Mais toi, demeure dans les choses que tu as apprises et dont tu as été pleinement convaincu, sachant de qui tu les as apprises, et que dès ton enfance tu connais les saintes lettres qui peuvent te rendre sage à salut par la foi qui est dans le Christ Jésus. Toute Écriture est divinement inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et '''parfaitement''' accompli pour '''toute''' bonne œuvre » ({{Pass|3, 14-17|DTi3v14-17}}). Voilà, pour nous, une riche provision pour les « temps fâcheux ». Une vraie connaissance de celui « de qui nous avons appris » — une étude faite avec soin, une intelligence personnelle, expérimentale des « saintes lettres » — cette fontaine pure de l’autorité divine — cette source immuable de la céleste sagesse, que même ''un enfant'' peut posséder, et sans laquelle ''un sage'' s’égare. Si un homme ne peut pas rapporter toutes ses pensées, toutes ses convictions, tous ses principes, à Dieu comme à leur vivante source — à Christ comme à leur centre vivant, et aux « saintes Écritures » comme à leur divine autorité, il ne sera jamais en état de traverser les « temps fâcheux ». Une foi de seconde main ne suffira jamais à personne. Il faut que nous tenions la vérité directement de Dieu, par le moyen et sur l’autorité des « saintes Écritures ». Dieu peut se servir d’un homme pour me faire comprendre ou m’expliquer certaines choses dans Sa Parole ; néanmoins, ces choses, je ne les tiens pas de l’homme, mais de Dieu. C’est là savoir de ''qui'' on les a apprises ; et quand il en est ainsi, je suis capable, par grâce, de traverser, en sûreté, les plus profondes ténèbres et les chemins raboteux du désert de ce monde. La lampe de la céleste inspiration donne une lumière si claire, si belle, si sûre que les ténèbres environnantes n’ont d’autre effet que d’en faire ressortir plus distinctement la merveilleuse splendeur. « L’homme de Dieu » n’en est pas réduit à puiser aux ruisseaux fangeux qui coulent dans le canal de la tradition humaine ; mais ayant le vase d’une « foi sincère », il s’assied près de la source limpide et intarissable des « saintes lettres » pour s’abreuver de ses eaux rafraîchissantes, pour l’entière satisfaction de son âme altérée.
  
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