Deutéronome 31, 7 à 18

[Chaque jour les Écritures, année 1, 17 novembre]

Après avoir enjoint à Israël de se fortifier et d’être ferme (v. 6), Moïse adresse les mêmes paroles à Josué (v. 7). La source du courage est la même dans les deux cas : l’Éternel qui marche avec eux. — Moïse a rédigé la loi. Encore faut-il qu’elle soit lue ! Aussi une dernière instruction est-elle donnée, relative à la lecture périodique des commandements divins devant tout Israël rassemblé : hommes, femmes et enfants. Dans quel but ? « Afin qu’ils entendent et afin qu’ils apprennent, et qu’ils craignent l’Éternel, votre Dieu, et qu’ils prennent garde à pratiquer toutes les paroles… » (v. 12). C’est aussi pour ces motifs que nous avons des réunions d’assemblée où la Parole de Dieu est lue et méditée. Les enfants y ont leur place avec leurs parents. Chers jeunes amis, ne négligez pas ces rassemblements « comme quelques-uns ont l’habitude de faire » (Héb. 10, 25). — Pourquoi après avoir promis à Israël de ne pas l’abandonner (v. 6), l’Éternel annonce-t-Il : « Je les abandonnerai, et je leur cacherai ma face » (v. 17) ? Parce qu’entre-temps c’est le peuple qui aura abandonné son Dieu et rompu Son alliance (v. 16 fin). Mais une ultime promesse sera formulée par la bouche du prophète Osée : « Je guérirai leur abandon de moi, je les aimerai librement » (Os. 14, 4).