1 Chroniques 16, 7 à 22

[Chaque jour les Écritures, année 2, 5 septembre]

Les chanteurs et les musiciens ont été désignés. De nos jours le chant n’est plus la part de quelques-uns seulement. N’aimons-nous pas tous chanter notre reconnaissance et en particulier pendant le culte, joindre notre voix aux cantiques d’adoration (Éph. 5, 19 ; Col. 3, 16) ? À présent David remet à Asaph « ce psaume, le premier, pour célébrer l’Éternel ». Son nom, Ses œuvres, Sa gloire, Ses relations avec Ses saints,… que de motifs l’Israélite avait de Le bénir. Nous qui connaissons Jésus et Son œuvre de la croix, combien nos sujets d’adoration sont plus nombreux ! Oui, chantons avec intelligence : méditons les paroles que nous prononçons. Nos hymnes, composés d’après la Bible, développent de multiples aspects des gloires du Père et du Fils. Il est important et édifiant de les distinguer les uns des autres. — Que sont les enfants de Dieu par rapport au monde qui les entoure ? « Un petit nombre d’hommes, peu de chose, et étrangers dans le pays » (v. 19). Sont-ils misérables ? Bien au contraire ! « Glorifiez-vous de son saint nom », répond le verset 10. Le nom de Jésus, notre relation par Lui avec Son Père, voilà notre gloire, notre richesse, notre joie et aussi notre sécurité !