2 Chroniques 9, 1 à 12

[Chaque jour les Écritures, année 2, 3 octobre]

À côté de son caractère prophétique, la visite de la reine de Sheba illustre le chemin du pécheur qui vient au Sauveur. C’est l’occasion d’une parole pour celui de nos lecteurs qui n’aurait pas encore fait ce pas de la foi vers le Seigneur Jésus : Sachez que rien de ce qui vous a été rapporté à Son sujet ne peut se comparer avec la connaissance personnelle que vous ferez de Lui. De sorte que la seule chose que nous vous dirons, c’est, comme Philippe à Nathanaël : « Viens et vois » (Jean 1, 47 ; comp. v. 6). — Et vous qui connaissez Jésus depuis déjà plus ou moins longtemps, savez-vous quel est le plus puissant témoignage que vous puissiez Lui rendre ? Montrez que vous êtes heureux ! Autour de nous, beaucoup sans l’avouer soupirent après le vrai bonheur. Peuvent-ils constater que nous le possédons ? Et que le secret de ce bonheur est notre relation personnelle avec le Seigneur ? Notre sort leur fait-il envie, comme c’était le cas pour la reine par rapport aux serviteurs de Salomon ? Si nous avons l’air triste et mécontent nous donnerons à penser que Jésus n’est pas en mesure de satisfaire notre cœur. Et nous empêcherons les autres de venir, de voir… et de croire.