Néhémie 11, 1 et 2 ; 12, 22 à 30

[Chaque jour les Écritures, année 2, 15 décembre]

Bien peu nombreux étaient les rapatriés de Babylone par rapport à ceux qui habitaient dans le pays avant la transportation. Jérusalem, avec ses murailles reconstruites sur leurs anciennes bases, ne comptait qu’un nombre infime de citoyens : entre autres ceux qui avaient réparé vis-à-vis de leur maison ! On décide de faire appel à des volontaires de Juda et de Benjamin pour venir repeupler la ville. Leurs noms sont donnés. Dieu honore en effet ceux qui, renonçant à leurs champs et à leurs maisons, viennent demeurer près de Son sanctuaire par attachement pour celui-ci. — Des promesses sont faites au sujet de la Jérusalem du règne de mille ans (Zach. 2, 4 ; És. 33, 20 ; 60). Mais des promesses plus belles encore concernent la sainte cité, la Jérusalem céleste. Dieu qui l’a « préparée » pour Christ (Apoc. 21, 2) l’a aussi « préparée » pour ceux qui Lui appartiennent et qui ont renoncé à posséder ici-bas une cité permanente (Héb. 11, 16). Cette merveilleuse cité n’est pas faite pour demeurer vide. Dieu y habitera Lui-même, au milieu des siens. Toutefois une condition est indispensable pour y pénétrer : il faut avoir « lavé sa robe » par la foi au sang de l’Agneau (Apoc. 22, 14). L’avez-vous fait ?