Ésaïe 45, 14 à 25

[Chaque jour les Écritures, année 3, 6 juin]

Ce que l’Éternel accomplira pour le rétablissement de Son peuple Le fera connaître de tous comme « le Dieu d’Israël, le sauveur… » (v. 15). En contraste avec les dieux qui ne sauvent pas (fin du v. 20), Il déclare Lui-même avec la plus grande force : « De Dieu juste et sauveur, il n’y en a point si ce n’est moi. Tournez-vous vers moi, et soyez sauvés, vous tous les bouts de la terre… » (v. 21, 22). Cet appel retentit dans le monde aujourd’hui. Chacun de nous y a-t-il répondu ? Nous reconnaissons la voix de « notre Dieu sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité… » (1 Tim. 2, 4, 5). Mais pour que Dieu puisse se montrer à la fois « juste et sauveur » nous savons ce qui était nécessaire. Le châtiment qui devait satisfaire Sa justice à l’égard du péché a frappé Celui que la suite du même passage de 1 Timothée appelle : « le médiateur entre Dieu et les hommes,… l’homme Christ Jésus, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous ». C’est à juste titre que tout genou se ploiera devant le Seigneur et que toute langue confessera hautement Dieu (v. 23, cité en Rom. 14, 11).