Psaume 81

[Chaque jour les Écritures, année 4, 18 février]

Israël est invité à chanter comme il l’avait fait jadis au bord de la mer Rouge, au son du tambourin (v. 2 ; Ex. 15, 20). Mais, après la délivrance de l’Égypte évoquée au verset 6, l’Éternel aurait eu encore beaucoup de grandes choses à accomplir en faveur de Son peuple… si celui-ci avait voulu L’écouter. Il était prêt en particulier à le nourrir de la moelle du froment (la fine fleur de farine qui nous parle toujours de Christ), ainsi que du miel du rocher, image de la douceur de la grâce divine. Mais Dieu est obligé de constater tristement : « Israël n’a pas voulu de moi… » (v. 11). Combien touchante est Son exclamation : « Israël, oh ! si tu voulais m’écouter » (v. 8) et plus loin : « Oh ! si mon peuple m’avait écouté » (v. 13 ; comp. Deut. 5, 29). Chers amis croyants, Dieu a aussi retiré notre épaule de dessous le plus pesant des fardeaux : celui du péché (v. 6). Mais savez-vous qu’Il a encore beaucoup d’autres bénédictions en réserve pour nous… à condition que nous ayons le désir de les recevoir et que nous écoutions Sa Parole ? Il nous a préparé des victoires (comp. v. 14) ; Il veut nous nourrir de Christ et de Son amour. Ouvrons-Lui nos cœurs ; Il les remplira et Sa louange sera dans nos bouches (comp. v. 10).