Jean 1, 35 à 52

[Chaque jour les Écritures, année 4, 3 juillet]

La marche de Jésus (et non plus seulement le signe d’en haut : v. 33) remplit le cœur de Jean de conviction et de joie (v. 36). Choses qui parlent toujours aux autres ! Ses deux disciples l’entendent et s’attachent à Jésus. Ils Le suivent et jouissent de Sa présence… comme nous pouvons la réaliser maintenant selon Sa promesse. André nous donne encore un autre exemple. Il mène à Jésus « son propre frère Simon ». Avant de songer à quelque activité que ce soit, pensons à ceux de nos proches qui ne connaissent pas encore le Seigneur. André est un disciple effacé. Mais son service ce jour-là allait avoir de grandes conséquences puisque Simon deviendra l’apôtre Pierre. Philippe entend l’appel du Seigneur et à son tour parle à Nathanaël de ce Nazaréen qui est le Messie promis. Mais aucun argument n’a le poids de cette simple invitation : « Viens et vois » ! — Que de noms et de titres magnifiques exaltent dans ce chapitre les gloires éternelles, actuelles ou à venir du Seigneur Jésus Christ : Parole, vie, lumière, Fils unique dans le sein du Père, Agneau de Dieu, Maître qui enseigne, Messie ou Christ, vrai Nazaréen, Roi d’Israël et Fils de l’homme.