Psaume 135

[Chaque jour les Écritures, année 5, 16 février]

Le psaume 134 nous montrait les serviteurs de l’Éternel se tenant dans sa maison pour Le célébrer. Le psaume 135 nous apprend quel est le thème de leur louange : le grand nom de l’Éternel. — Au psaume 133, ce qui était bon et agréable c’était que des frères habitent unis ensemble. Ici au verset 3, c’est l’Éternel Lui-même qui est trouvé bon et agréable. L’adorateur a « goûté que le Seigneur est bon » (1 Pier. 2, 3). Si précieuse que soit la communion fraternelle rien ne remplace pour l’âme la saveur de l’amour du Seigneur. Est-ce seulement pour rencontrer d’autres chrétiens que nous nous rendons au rassemblement ? Ou bien parce que nous y jouissons de la présence bénie du Seigneur ? — Dieu s’est choisi Israël — comme aussi chaque racheté — « pour son trésor particulier » (v. 4 ; Matt. 13, 44) et Il a mis en œuvre pour l’acquérir les moyens les plus puissants (Ps. 135, 5-12). Mentionnés après un tel Dieu combien les idoles du monde apparaissent vaines et ridicules ! Et combien sont à plaindre « ceux qui se confient en elles » (v. 18) ! Bénir l’Éternel, devenu pour nous le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, est le privilège de tous ceux qui Le craignent (v. 20 ; Éph. 1, 3).