− | {{Verset|UCo13v1|1|Si je parle dans les langues des hommes et des anges, mais que je n’aie pas l’amour, {{Note|je suis|N139g|''litt.'' : je suis devenu.}} comme un airain qui résonne ou comme une cymbale retentissante.}} {{Verset|UCo13v2|2|Et si j’ai la prophétie, et que je connaisse tous les mystères et toute connaissance, et que j’aie toute la foi de manière à transporter des montagnes, mais que je n’aie pas l’amour, je ne suis rien.}} {{Verset|UCo13v3|3|Et quand je distribuerais en aliments tous mes biens, et que je livrerais mon corps afin que je fusse brûlé, mais que je n’aie pas l’amour, cela ne me profite de rien.}} {{Verset|UCo13v4|4|L’amour use de longanimité ; il est plein de bonté ; l’amour n’est pas envieux ; l’amour ne se vante pas ; il ne s’enfle pas d’orgueil ;}} {{Verset|UCo13v5|5|il n’agit pas avec inconvenance ; il ne cherche pas son propre intérêt ; il ne s’irrite pas ; il {{Note|n’impute pas|N139h|''ou'' : ne pense pas.}} le mal ;}} {{Verset|UCo13v6|6|il ne se réjouit pas de l’injustice, mais se réjouit avec la vérité ;}} {{Verset|UCo13v7|7|il {{Note|supporte|N139i|''ou'' : couvre.}} tout, croit tout, espère tout, endure tout.}} {{Verset|UCo13v8|8|L’amour ne périt jamais. Or y a-t-il des prophéties ? elles auront leur fin. Y a-t-il des langues ? elles cesseront. Y a-t-il de la connaissance ? elle aura sa fin.}} {{Verset|UCo13v9|9|Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie ;}} {{Verset|UCo13v10|10|mais quand ce qui est parfait sera {{Note|venu,|N139j|''R. aj.'' : alors.}} ce qui est en partie aura sa fin.}} {{Verset|UCo13v11|11|Quand j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; quand je suis devenu homme, j’en ai fini avec ce qui était de l’enfant.}} {{Verset|UCo13v12|12|Car nous voyons maintenant au travers d’un {{Note|verre|N139k|verre demi-transparent.}}, obscurément, mais alors face à face ; maintenant je connais en partie, mais alors je connaîtrai à fond comme aussi j’ai été connu.}} {{Verset|UCo13v13|13|Or maintenant ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, l’amour ; mais la plus grande de ces choses, c’est l’amour.}} | + | {{Verset|UCo13v1|1|Si je parle dans les langues des hommes et des anges, mais que je n’aie pas l’amour, {{Note|je suis|N139g|''litt.'' : je suis devenu.}}{{Note1872||N260f|{{RefConc|γέγονα|γίνομαι|GNC}}.}} comme un airain qui résonne ou comme une cymbale retentissante.}} {{Verset|UCo13v2|2|Et si j’ai la prophétie, et que je {{Note1872|connaisse|N260g|{{RefConc|εἰδῶ|εἰδέω |GNC}}, connaisse intérieurement dans mon esprit, aie la connaissance.}} tous les mystères et toute connaissance, et que j’aie toute la foi de manière à transporter des montagnes, mais que je n’aie pas l’amour, je ne suis rien.}} {{Verset|UCo13v3|3|Et {{Note1872|quand je distribuerais|N260h|''R.'' : si je distribue.}} en aliments tous mes biens, et que je livrerais mon corps afin que je fusse {{Note1872|brûlé|N260i|''qqs. lisent'' : {{RefConc|ϰαυχήσωμαι|καυχάομαι|GNC}}, afin que je me glorifiasse, ''au lieu de'' : {{RefConc|ϰαυθήσωμαι|καίω|GNC}}.}}, mais que je n’aie pas l’amour, cela ne me profite de rien.}} {{Verset|UCo13v4|4|L’amour use de longanimité ; il est plein de bonté ; l’amour n’est pas envieux ; l’amour ne se vante pas ; il ne s’enfle pas d’orgueil ;}} {{Verset|UCo13v5|5|il n’agit pas avec inconvenance ; il ne cherche pas son propre intérêt ; il ne s’irrite pas ; il {{Note|n’impute pas|N139h|''ou'' : ne pense pas.}} le mal ;}} {{Verset|UCo13v6|6|il ne se réjouit pas de l’injustice, mais se réjouit avec la vérité ;}} {{Verset|UCo13v7|7|il {{Note|supporte|N139i|''ou'' : couvre.}} tout, croit tout, espère tout, endure tout.}} {{Verset|UCo13v8|8|L’amour ne périt jamais. Or y a-t-il des prophéties ? elles auront leur fin. Y a-t-il des langues ? elles cesseront. Y a-t-il de la connaissance ? elle aura sa fin.}} {{Verset|UCo13v9|9|Car nous {{Note1872|connaissons|N261a|''objectivement'', {{RefConc|γινώσϰω|γινώσκω|GNC}}.}} en partie, et nous prophétisons en partie ;}} {{Verset|UCo13v10|10|mais quand ce qui est parfait sera {{Note|venu,|N139j|''R. aj.'' : alors.}} ce qui est en partie aura sa fin.}} {{Verset|UCo13v11|11|Quand j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je {{Note1872|pensais|N261c|{{RefConc|φρονέω|φρονέω|GNC}}, ''avoir les pensées ou les sentiments fixés sur''.}} comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; {{Note1872||N261d|''R., avec pl., aj.'' : mais.}}quand je suis devenu homme, j’en ai fini avec ce qui était de l’enfant.}} {{Verset|UCo13v12|12|Car nous voyons maintenant au travers d’un {{Note|verre|N139k|verre demi-transparent.}}{{Note1872||N261e|{{RefConc|ἔσοπτρον|ἔσοπτρον|GNC}}, miroir, ''est employé aussi pour la fenêtre par laquelle on regarde ce qui est au-dehors de la maison, fenêtre qui était garnie non pas de vitres transparentes, comme elles sont maintenant, mais de matériaux demi-transparents seulement''.}}, obscurément, mais alors face à face ; maintenant je connais en partie, mais alors je connaîtrai à fond comme aussi j’ai été connu.}} {{Verset|UCo13v13|13|{{Note1872|Or maintenant ces trois choses demeurent|N261f|''litt.'' : et maintenant demeure la foi, l’espérance, l’amour, ces trois choses.}} : la foi, l’espérance, l’amour ; mais la plus grande de ces choses, c’est l’amour.}} |