− | {{Verset|DPi1v1|1|Siméon Pierre, esclave et apôtre de Jésus Christ, à ceux qui ont reçu en partage une foi de pareil prix avec nous, par [la] justice de notre Dieu et Sauveur Jésus Christ :}} {{Verset|DPi1v2|2|Que la grâce et la paix vous soient multipliées {{Note|dans|N189l|''ou'' : par.}} la connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur !}} | + | {{Verset|DPi1v1|1|Siméon Pierre, esclave et apôtre de Jésus Christ, à ceux qui ont reçu en partage une foi de pareil prix avec nous, par [la] justice de notre Dieu et Sauveur Jésus Christ :}} {{Verset|DPi1v2|2|Que la grâce et la paix vous soient multipliées {{Note|dans|N189l|''ou'' : par.}} la {{Note1872|connaissance|N371b|{{RefConc|ἐπίγνωσις|ἐπίγνωσις|GNC}}, réelle, pleine connaissance.}} de Dieu et de Jésus notre Seigneur !}} |
− | {{Verset|DPi1v3|3|Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui regarde la vie et la piété, par la connaissance de celui qui nous a appelés par [la] gloire et par [la] vertu,}} {{Verset|DPi1v4|4|par lesquelles {{Note|il nous a donné|N189m|''ou'' : nous ont été données.}} les très-grandes et précieuses promesses, afin que par elles vous participiez de la nature divine, ayant échappé à la corruption qui est dans le monde par la convoitise… ;}} {{Verset|DPi1v5|5|pour cette même raison aussi, y {{Note|apportant|N189n|''litt.'' : apportant en outre ''ou'' : en même temps.}} tout empressement, joignez à votre foi, la vertu ; et à la vertu, la connaissance ;}} {{Verset|DPi1v6|6|et à la connaissance, la tempérance ; et à la tempérance, la patience ; et à la patience, la piété ;}} {{Verset|DPi1v7|7|et à la piété, l’affection fraternelle ; et à l’affection fraternelle, l’amour ;}} {{Verset|DPi1v8|8|car, si ces choses sont en vous et y abondent, elles font que vous ne serez pas oisifs ni stériles pour ce qui regarde la connaissance de notre Seigneur Jésus Christ ;}} {{Verset|DPi1v9|9|car celui en qui ces choses ne se trouvent pas est aveugle, et ne voit pas loin, ayant oublié la purification de ses péchés d’autrefois.}} {{Verset|DPi1v10|10|C’est pourquoi, frères, étudiez-vous d’autant plus à affermir votre appel et votre élection, car en faisant ces choses vous ne faillirez jamais ;}} {{Verset|DPi1v11|11|car ainsi l’entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ vous sera richement {{Note|donnée|N189o|''plutôt'' : fournie.}}.}} | + | {{Verset|DPi1v3|3|Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui regarde la vie et la piété, par la {{Note1872|connaissance|N371b|}} de celui qui nous a appelés {{Note1872|par [la] gloire et par [la] vertu|N371c|''pl.'' : par [sa] propre gloire et vertu.}},}} {{Verset|DPi1v4|4|par lesquelles {{Note|il nous a donné|N189m|''ou'' : nous ont été données.}} les très-grandes et précieuses promesses, afin que par elles vous participiez de la nature divine, ayant échappé à la corruption qui est dans le monde par la convoitise… ;}} {{Verset|DPi1v5|5|{{Note1872||N371e|''le grec a ici un'' {{RefConc|δέ|δέ|GNC}} ''qu’on ne peut guère rendre en français''.}}pour cette même raison aussi, y {{Note|apportant|N189n|''litt.'' : apportant en outre ''ou'' : en même temps.}}{{Note1872||N371f|{{RefConc|παρεισενέγϰαντες|παρεισφέρω|GNC}}, apportant en outre ''ou'' en même temps.}} tout empressement, joignez à votre foi, la vertu ; et à la vertu, la connaissance ;}} {{Verset|DPi1v6|6|et à la connaissance, la tempérance ; et à la tempérance, la patience ; et à la patience, la piété ;}} {{Verset|DPi1v7|7|et à la piété, l’affection fraternelle ; et à l’affection fraternelle, l’amour ;}} {{Verset|DPi1v8|8|car, si ces choses sont en vous et y abondent, elles font que vous ne serez pas oisifs ni stériles pour ce qui regarde la {{Note1872|connaissance|N371b|}} de notre Seigneur Jésus Christ ;}} {{Verset|DPi1v9|9|car celui en qui ces choses ne se trouvent pas est aveugle, et ne voit pas loin, ayant oublié la purification de ses péchés d’autrefois.}} {{Verset|DPi1v10|10|C’est pourquoi, frères, étudiez-vous d’autant plus à affermir votre appel et votre élection, car en faisant ces choses vous ne faillirez jamais ;}} {{Verset|DPi1v11|11|car ainsi l’entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ vous sera richement {{Note|donnée|N189o|''plutôt'' : fournie.}}.}} |
− | {{Verset|DPi1v12|12|C’est pourquoi je {{Note|m’appliquerai à|N189p|''R.'' : ne négligerai pas de.}} vous faire souvenir toujours de ces choses, quoique vous les connaissiez et que vous soyez affermis dans la vérité présente.}} {{Verset|DPi1v13|13|Mais j’estime qu’il est juste, tant que je suis dans cette tente, de vous réveiller en rappelant [ces choses] à votre mémoire,}} {{Verset|DPi1v14|14|sachant que le moment de déposer ma tente s’approche rapidement, comme aussi notre Seigneur Jésus Christ me l’a montré ;}} {{Verset|DPi1v15|15|mais je m’étudierai à ce qu’après mon départ vous puissiez aussi en tout temps vous rappeler ces choses.}} {{Verset|DPi1v16|16|Car ce n’est pas en suivant des fables ingénieusement imaginées, que nous vous avons fait connaître la puissance et la venue de notre Seigneur Jésus Christ, mais comme ayant été témoins oculaires de sa majesté.}} {{Verset|DPi1v17|17|Car il reçut de Dieu le Père honneur et gloire, lorsqu’une telle voix lui fut adressée par la gloire magnifique : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui {{Note|j’ai|N190a|''litt.'' : moi j’ai.}} trouvé mon plaisir ».}} {{Verset|DPi1v18|18|Et nous, nous entendîmes cette voix venue du ciel, étant avec lui sur la sainte montagne.}} {{Verset|DPi1v19|19|Et nous avons la parole prophétique [rendue] plus ferme, (à laquelle vous faites bien d’être attentifs, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur), jusqu’à ce que [le] jour ait commencé à luire et que [l’]étoile du matin se soit levée dans vos cœurs,}} {{Verset|DPi1v20|20|sachant ceci premièrement, qu’aucune prophétie de l’écriture {{Note|ne s’interprète elle-même|N190b|''ou'' : n’est d’une interprétation particulière.}}.}} {{Verset|DPi1v21|21|Car [la] prophétie n’est {{Note|jamais|N190c|''ou'' : pas autrefois.}} venue par la volonté de l’homme, mais {{Note|de|N190d|''R.'' : les.}} saints hommes de Dieu ont parlé, étant poussés par l’Esprit Saint.}} | + | {{Verset|DPi1v12|12|C’est pourquoi je {{Note|m’appliquerai à|N189p|''R.'' : ne négligerai pas de.}} vous faire souvenir toujours de ces choses, quoique vous les {{Note1872|connaissiez|N371h|{{RefConc|εἴδω|εἰδέω|GNC}}, connaître, savoir — en avoir connaissance en soi-même.}} et que vous soyez affermis dans la vérité présente.}} {{Verset|DPi1v13|13|Mais j’estime qu’il est juste, tant que je suis dans cette tente, de vous réveiller en rappelant [ces choses] à votre mémoire,}} {{Verset|DPi1v14|14|sachant que le moment de déposer ma tente s’approche rapidement, comme aussi notre Seigneur Jésus Christ me l’a montré ;}} {{Verset|DPi1v15|15|mais je m’étudierai {{Note1872|à ce qu’après mon départ vous puissiez aussi en tout temps vous rappeler|N371i|''ou'' : à ce qu’après mon départ, en tout temps aussi, vous vous rappeliez. ''Il veut que non seulement étant présent, mais qu’''en tout temps aussi…}} ces choses.}} {{Verset|DPi1v16|16|Car ce n’est pas en suivant des fables ingénieusement imaginées, que nous vous avons fait connaître la puissance et la venue de notre Seigneur Jésus Christ, mais comme ayant été {{Note1872|témoins oculaires|N372a|{{RefConc|ἐπόπτης|ἐπόπτης|GNC}} (''non pas'' {{RefConc|αὐτόπτης|αὐτόπτης|GNC}}), admis à la vision immédiate de la gloire — ''mot usité pour désigner la pleine initiation aux mystères''.}} de sa majesté.}} {{Verset|DPi1v17|17|{{Note1872|Car il reçut|N372b|''litt.'' : Car ayant reçu. ''On pourrait lier ceci, pour ce qui est du sens, avec le'' {{Pass|''vers.'' 19|DPi1v19}} ; ''mais ce serait peu grammatical''. ''J’aime mieux le rattacher abstraitement au'' {{Pass|''vers.'' 16|DPi1v16}} ; ''comp.'' {{Pass|2, 1|DPi2v1}}, ''où, avec'' {{RefConc|ϰαί|καί|GNC}}, ''nous trouvons un participe employé de la même manière''.}} de Dieu le Père honneur et gloire, lorsqu’une telle voix lui fut adressée par la gloire magnifique : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui {{Note|j’ai|N190a|''litt.'' : moi j’ai.}} trouvé mon plaisir ».}} {{Verset|DPi1v18|18|Et nous, nous entendîmes cette voix {{Note1872|venue|N372c|''ou'' : apportée, sortie, ''avec le sens de'' : sortie oraculairement ; ''traduit au'' {{Pass|''vers.'' 17|DPi1v17}}, « adressée ».}} du ciel, étant avec lui sur la sainte montagne.}} {{Verset|DPi1v19|19|Et nous avons la parole prophétique [rendue] plus ferme, (à laquelle vous faites bien d’être attentifs, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur), jusqu’à ce que [le] jour ait commencé à luire et que [l’]étoile du matin se soit levée dans vos cœurs,}} {{Verset|DPi1v20|20|sachant ceci premièrement, qu’aucune prophétie de l’écriture {{Note|ne s’interprète elle-même|N190b|''ou'' : n’est d’une interprétation particulière.}}{{Note1872||N372d|{{RefConc|ἰδίας|ἴδιος|GNC}} {{RefConc|ἐπιλύσεως|ἐπίλυσις|GNC}} {{RefConc|οὐ|οὐ|GNC}} {{RefConc|γίνεται|γίνομαι|GNC}} — ne s’explique par sa propre signification ''comme une sentence humaine'' ; ''elle doit être comprise par, et selon l’Esprit qui l’a dictée''. ''La'' « prophétie » ''est, ainsi que je l’entends'', le sens de la prophétie, la chose que la prophétie avait en vue. ''Or ce sens de la prophétie'' (la prophétie), ''on ne le trouve pas par une interprétation humaine d’un passage isolé qui a sa propre signification, sa propre solution et son propre sens, comme si un homme l’exprimait'' ; ''car'' la prophétie ''est une partie de la pensée de Dieu exprimée en parole'' selon que de saints hommes poussés par l’Esprit saint ont parlé. ''L’apôtre, par'' « la prophétie de l’écriture », ''entend'' la chose prophétisée, ''sans perdre l’idée du passage qui l’exprime''.}}.}} {{Verset|DPi1v21|21|Car [la] prophétie n’est {{Note|jamais|N190c|''ou'' : pas autrefois.}} {{Note1872|venue|N372c|}} par la volonté de l’homme, mais {{Note|de|N190d|''R.'' : les.}} saints hommes de Dieu ont parlé, étant {{Note1872|poussés|N372g|{{RefConc|φερόμενοι|φέρω|GNC}}, portés par.}} par l’Esprit Saint.}} |