Messager Évangélique:Pensées (novembre 1863)
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Je ne regarde pas la cène du Seigneur comme une affaire de commandement : c’est un privilège précieux que de se souvenir ainsi de Christ, et l’amour me rend obéissant à Sa volonté. Ce n’est pas parce que cela m’est commandé, que je prie, quoiqu’il y ait un commandement à ce sujet. C’est une pauvre chose que de prier seulement parce qu’il nous est commandé de le faire.
Il est fort important de se souvenir que, lorsque la gloire de Dieu est en question, on peut et même parfois on doit agir sans commandement. C’est ce que fit Moïse quand il dressa une tente hors du camp, parce que Israël avait érigé le veau d’or dans le camp. Dans ces cas, on peut, sans commandement positif, déduire la pensée de Dieu, de Sa Parole.