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Études Scripturaires:Aphorismes (n° 18)/texte (voir la source)
Version du 8 août 2017 à 20:44
, 8 août 2017 à 20:44Texte de l’article
{{Titre|Aphorismes|E.S. 18 — Aphorismes}}
{{Descriptif-txt
|date=30 septembre 1857
}}<noinclude>{{Description|Article des Études Scripturaires contenant quelques courtes pensées|pensée,Études Scripturaires}}</noinclude>
Études Scripturaires n° 18
{{SautLigne}}
L’homme n’est jamais justifié par l’expérience ; il est justifié par la foi.
L’Esprit de Dieu n’est jamais notre justice ; Il est puissance en nous : mais Christ est notre justice.
L’expérience de la foi n’a jamais le ''moi'' pour objet — il n’y a point de foi dans mes sentiments propres — j’ai foi en Dieu.
Parce que nous sommes enfants, Dieu nous scelle. Douter que Dieu soit pour nous, c’est de l’incrédulité.
La vérité oblige.
La connaissance ne peut pas aimer ; il faut que nous soyons nés de Dieu pour aimer ; car {{Pass-txt|« Dieu est amour »|UJe4v8,16|1 Jean chapitre 4 versets 8 et 16}}.
Quand nous perdons le sentiment de la présence de Dieu, la conscience est endormie et elle se réveillera.
Paul expose les conseils de Dieu. Jean expose la nature de Dieu — la vie éternelle manifestée en Christ et qui nous est communiquée.
En Paul nous avons le développement de la connaissance ; en Jean, le développement des affections.
La question de la justification est présentée dans les épîtres aux Romains et aux Galates ; dans celles de Pierre, c’est le gouvernement de Dieu dans le désert ; en Jean, c’est la communication de la vie.
Le {{Pass-txt|septième chapitre des Romains|Rom7}} présente la forme légale du combat ; les Galates offrent la forme chrétienne du combat. Dans le {{Pass-txt|septième chapitre des Romains|Rom7}}, il n’est pas question de l’Esprit ; mais les Galates parlent de {{Pass-txt|la chair qui convoite contre l’Esprit, et de l’Esprit qui désire le contraire de la chair|Gal5v17|Galates chapitre 5 verset 17}}. Dans les Romains, il s’agit de la ''loi'', et non de Christ ni de l’Esprit.
L’homme a chassé Dieu du monde en crucifiant Jésus.
{{Descriptif-txt
|date=30 septembre 1857
}}<noinclude>{{Description|Article des Études Scripturaires contenant quelques courtes pensées|pensée,Études Scripturaires}}</noinclude>
Études Scripturaires n° 18
{{SautLigne}}
L’homme n’est jamais justifié par l’expérience ; il est justifié par la foi.
L’Esprit de Dieu n’est jamais notre justice ; Il est puissance en nous : mais Christ est notre justice.
L’expérience de la foi n’a jamais le ''moi'' pour objet — il n’y a point de foi dans mes sentiments propres — j’ai foi en Dieu.
Parce que nous sommes enfants, Dieu nous scelle. Douter que Dieu soit pour nous, c’est de l’incrédulité.
La vérité oblige.
La connaissance ne peut pas aimer ; il faut que nous soyons nés de Dieu pour aimer ; car {{Pass-txt|« Dieu est amour »|UJe4v8,16|1 Jean chapitre 4 versets 8 et 16}}.
Quand nous perdons le sentiment de la présence de Dieu, la conscience est endormie et elle se réveillera.
Paul expose les conseils de Dieu. Jean expose la nature de Dieu — la vie éternelle manifestée en Christ et qui nous est communiquée.
En Paul nous avons le développement de la connaissance ; en Jean, le développement des affections.
La question de la justification est présentée dans les épîtres aux Romains et aux Galates ; dans celles de Pierre, c’est le gouvernement de Dieu dans le désert ; en Jean, c’est la communication de la vie.
Le {{Pass-txt|septième chapitre des Romains|Rom7}} présente la forme légale du combat ; les Galates offrent la forme chrétienne du combat. Dans le {{Pass-txt|septième chapitre des Romains|Rom7}}, il n’est pas question de l’Esprit ; mais les Galates parlent de {{Pass-txt|la chair qui convoite contre l’Esprit, et de l’Esprit qui désire le contraire de la chair|Gal5v17|Galates chapitre 5 verset 17}}. Dans les Romains, il s’agit de la ''loi'', et non de Christ ni de l’Esprit.
L’homme a chassé Dieu du monde en crucifiant Jésus.