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{{Titre|Comment le chrétien est « délié de la loi », par son union avec Christ|M.E. 1863 - Comment le chrétien est délié de la loi, par son union avec Christ}}<noinclude>{{Description|Article du Messager Évangélique sur la délivrance de la loi en Romains 7, par l’union avec Christ|Rom. 7,délivrance,loi,union,Christ,Messager Évangélique}}</noinclude>
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{{Titre|Comment le chrétien est « délié de la loi », par son union avec Christ|M.E. 1863 - Comment le chrétien est délié de la loi, par son union avec Christ}}<noinclude>{{Description|Article du Messager Évangélique sur la délivrance de la loi en Romains 7, par l’union avec Christ|Rom. 7,délivrance,loi,union,Christ,Messager Évangélique}}{{Navig|Messager Évangélique:Comment le chrétien est «mort au péché, mais vivant à Dieu»||Messager Évangélique:La vie dans l’Esprit, l’Esprit Saint en nous, et Dieu pour nous}}</noinclude>
 
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Ainsi nous apprenons, en premier lieu, que nous ne pouvons avoir deux maris à la fois ; ensuite, la doctrine que la loi provoque le péché ; puis nous voyons l’homme placé sous la loi, afin qu’il puisse acquérir ce qu’on appelle de l’expérience. Dans tout cela il s’agit toujours du ''moi'', et ce n’est qu’à la fin que nous trouvons Christ et un Sauveur, et que nous « rendons grâces », quoique les deux natures restent les mêmes ; seulement la nouvelle nature marche dans la grâce, et l’ancienne est tenue pour morte. Ainsi, comme doctrine, nous apprenons que nous sommes entièrement délivrés de la loi, non pas en affaiblissant la loi, mais en lui donnant au contraire toute sa puissance — mais cette puissance tue. Celui-là affaiblit l’autorité de la loi, qui place l’homme en quoi que ce soit, sous cette autorité, en lui laissant quelque espoir. Car le péché est dans la chair, et la loi ne tolère point de péché, mais elle maudit tous ceux qui s’adonnent à ses œuvres pour les faire. Mélanger la grâce avec la loi, c’est détruire l’obligation que celle-ci impose, et renverser l’autorité de la loi qui s’exerce justement en condamnant. Nous mourons à la loi, et ensuite nous acquérons la position de Christ, étant délivrés par Sa mort et Sa résurrection. Après cela, la loi est appliquée à l’âme comme affaire d’expérience dans cette sainte voie, pour amener l’âme au sentiment de son impuissance à accomplir la loi. Il est bien plus difficile de reconnaître notre impuissance, que de reconnaître notre péché. La conscience nous parlera de péché, mais il faut une longue expérience pour que nous reconnaissions que nous n’avons point de force, quoique nous sachions que c’est la vérité, et pour que notre chair soit tellement réduite à néant, que nous n’ayons plus aucune confiance en elle ; pour que nous reconnaissions qu’il n’y a de puissance, comme il n’y a de pardon, que dans la grâce, et que c’est la découverte de ce que nous sommes qui résout définitivement la question de la paix et de la puissance, car alors il s’agit de Dieu Lui-même.
 
Ainsi nous apprenons, en premier lieu, que nous ne pouvons avoir deux maris à la fois ; ensuite, la doctrine que la loi provoque le péché ; puis nous voyons l’homme placé sous la loi, afin qu’il puisse acquérir ce qu’on appelle de l’expérience. Dans tout cela il s’agit toujours du ''moi'', et ce n’est qu’à la fin que nous trouvons Christ et un Sauveur, et que nous « rendons grâces », quoique les deux natures restent les mêmes ; seulement la nouvelle nature marche dans la grâce, et l’ancienne est tenue pour morte. Ainsi, comme doctrine, nous apprenons que nous sommes entièrement délivrés de la loi, non pas en affaiblissant la loi, mais en lui donnant au contraire toute sa puissance — mais cette puissance tue. Celui-là affaiblit l’autorité de la loi, qui place l’homme en quoi que ce soit, sous cette autorité, en lui laissant quelque espoir. Car le péché est dans la chair, et la loi ne tolère point de péché, mais elle maudit tous ceux qui s’adonnent à ses œuvres pour les faire. Mélanger la grâce avec la loi, c’est détruire l’obligation que celle-ci impose, et renverser l’autorité de la loi qui s’exerce justement en condamnant. Nous mourons à la loi, et ensuite nous acquérons la position de Christ, étant délivrés par Sa mort et Sa résurrection. Après cela, la loi est appliquée à l’âme comme affaire d’expérience dans cette sainte voie, pour amener l’âme au sentiment de son impuissance à accomplir la loi. Il est bien plus difficile de reconnaître notre impuissance, que de reconnaître notre péché. La conscience nous parlera de péché, mais il faut une longue expérience pour que nous reconnaissions que nous n’avons point de force, quoique nous sachions que c’est la vérité, et pour que notre chair soit tellement réduite à néant, que nous n’ayons plus aucune confiance en elle ; pour que nous reconnaissions qu’il n’y a de puissance, comme il n’y a de pardon, que dans la grâce, et que c’est la découverte de ce que nous sommes qui résout définitivement la question de la paix et de la puissance, car alors il s’agit de Dieu Lui-même.
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