Deutéronome 6, 16 à 7, 6

[Chaque jour les Écritures, année 1, 10 octobre]

Tenter Dieu (v. 16), c’est Le mettre en demeure de prouver ce qu’Il dit. Ce n’est donc rien d’autre que de l’incrédulité. À Massa, le peuple voulait vérifier que l’Éternel était bien au milieu de lui (Ex. 17, 7). Tandis que Jésus n’avait nul besoin de se jeter du haut du temple pour savoir que des ordres étaient donnés aux anges à Son sujet (Matt. 4, 6). — D’après le verset 7 les parents avaient la charge d’enseigner les paroles de l’Éternel à leurs enfants. Notre verset 20 envisage que les fils interrogeront leurs pères. De telles questions sont prévues en trois autres occasions. En Exode 12, 26 au sujet de la Pâque (quel est le moyen du salut ?). En Exode 13, 14 au sujet de la mise à part qui s’ensuit (pourquoi cette continuelle séparation du monde ?). Enfin en Josué 4, 6 au sujet des douze pierres retirées du Jourdain et dressées en Canaan (questions relatives à la position céleste du croyant et à l’unité de l’Église corps de Christ). Chers jeunes amis, posez ces questions ! Quelles belles réponses vous recevrez (v. 21-25) ! — Israël ne devait rien épargner des Cananéens ni de leurs dieux. Non pour satisfaire l’esprit belliqueux et dominateur qui anime généralement les peuples conquérants. Mais parce qu’il était un peuple saint, consacré à l’Éternel (v. 6).