1 Samuel 3, 1 à 21

[Chaque jour les Écritures, année 2, 14 février]

Depuis sa petite enfance, Samuel appartenait à l’Éternel et Le servait. Mais il lui manquait la connaissance personnelle du Seigneur et la communication de Sa parole (v. 7). On peut posséder le salut, en jouir, et pourtant ne pas connaître pour soi-même la personne du Sauveur. C’était le cas de Job : « Mon oreille avait entendu parler de toi, maintenant mon œil t’a vu » (Job 42, 5). C’est aussi le cas de beaucoup de jeunes aujourd’hui. Qu’ils demandent au Seigneur Jésus de se faire connaître à eux. — Dieu parle ! Non plus en visions, mais dans Son saint Livre qui s’adresse à chacun. Lisons-le comme s’il n’avait été écrit que pour nous. L’attitude de Samuel est celle que nous avons à prendre chaque fois que nous ouvrons notre Bible. « Parle, car ton serviteur écoute ». Encore faut-il être prêt à faire ensuite ce que le Seigneur nous aura dit. — Enfin cette belle réponse nous donne l’exemple d’une obéissance immédiate. Elle revient à se mettre à l’entière disposition de ceux qui ont des ordres à nous donner. — Éli entend la parole solennelle que lui répète le jeune serviteur. Il est soumis lui aussi : « C’est l’Éternel, qu’il fasse ce qui est bon à ses yeux » (v. 18).