1 Chroniques 17, 1 à 15

[Chaque jour les Écritures, année 2, 7 septembre]

Ce chapitre reproduit presque textuellement 2 Samuel 7. Mais il convenait bien de relire cette merveilleuse « conversation » entre Dieu et un homme objet de Sa grâce. Dieu parle par Nathan au roi bien-aimé ; puis ce dernier Lui répond. Connaissons-nous par expérience ces entretiens avec Dieu (et avec le Seigneur Jésus) ? C’est essentiellement par le moyen de Sa Parole qu’Il communique avec nous. Et nous avons pleine liberté pour Lui répondre par la prière. — Toujours en accord avec le caractère du livre, quelques mots ont été effacés à propos du fils de David. L’expression : « s’il commet l’iniquité, je le châtierai… » (2 Sam. 7, 14) ne se retrouve pas dans notre chapitre, preuve qu’il s’agit d’un plus grand que Salomon. — « Moi je lui serai pour père — déclare l’Éternel — et lui me sera pour fils » (v. 13). La citation de ce verset en Hébreux 1, 5 confirme aussi que ce fils est bien Jésus, en qui la grâce nous a été révélée. Ainsi le précieux sujet des entretiens que nous avons avec Dieu, c’est Jésus, Son Fils bien-aimé. « Notre communion est avec le Père… » autrement dit nous pouvons avoir une même pensée avec Lui, et cette pensée concerne Son Fils Jésus Christ (1 Jean 1, 3).