Matthieu 22, 23 à 46

[Chaque jour les Écritures, année 3, 15 août]

D’autres contradicteurs, les sadducéens, viennent au Seigneur avec une question oiseuse. Ils pensent par leur récit démontrer l’extravagance de la résurrection. Avant d’en donner la preuve par les Écritures, Jésus s’adresse à la conscience de ces hommes et leur montre qu’ils discutent sans connaître la Parole, sur la base incertaine (et toujours fausse) de leurs propres pensées. C’est ce que font aujourd’hui nombre de personnes, en particulier celles qui appartiennent à des sectes d’erreur et de perdition. — Battus sur le terrain de l’Écriture, les ennemis de la vérité reviennent à la charge (v. 34-40). Ils reçoivent en réponse un résumé magistral de la loi tout entière… qui les condamne sans appel. Alors, à Son tour, Jésus pose à Ses interlocuteurs une question qui leur ferme la bouche. Rejeté, Celui qui est à la fois le Fils et le Seigneur de David allait occuper une position glorieuse. Et ceux qui, envers et contre tout, voulaient rester Ses ennemis, trouvaient eux aussi la place qui leur est réservée… comme le marchepied de Ses pieds (v. 44). Il est toujours impressionnant de voir des personnes si déterminées à suivre leur propre chemin qu’elles refusent de s’incliner devant les enseignements bibliques les plus clairs (2 Tim. 3, 8).