Psaume 89, 15 à 29

[Chaque jour les Écritures, année 4, 27 février]

Pour confirmer les promesses qu’ils se font réciproquement, les hommes échangent des signatures ou des gages. Mais Dieu, pour garantir l’accomplissement des siennes, a donné Son propre Fils. « Autant il y a de promesses en Dieu, en Lui (Christ) est le oui et en lui l’amen » (2 Cor. 1, 20). Qui pourrait mettre en doute des engagements assurés par une telle personne ? « J’ai placé du secours sur un homme puissant » (v. 19). Connaissons-nous ce secours, chers amis ? Faisons-nous quelquefois appel à cet « homme puissant » ? Il est toujours prêt à déployer Sa puissance en faveur de ceux qu’Il condescend à appeler Ses frères. S’Il est devenu homme, c’est afin de les sauver, mais aussi pour être capable de sympathiser à leurs infirmités humaines (Héb. 2, 17 ; 4, 15). Tout l’amour de Dieu pour le vrai David se discerne dans les expressions qu’Il emploie pour parler de Lui : Il est Son saint, Son élu (v. 3, 19), le serviteur qu’Il a trouvé, qu’Il a oint. Christ seul peut être appelé « le plus élevé des rois de la terre » (v. 27). Les chrétiens ont le privilège de Le connaître déjà et d’attendre avec ferveur Son apparition (2 Tim. 4, 8).