Ézéchiel 18, 19 à 32

[Chaque jour les Écritures, année 4, 19 mars]

Tout ce chapitre souligne le principe de la responsabilité individuelle de chaque âme (autrement dit de chaque personne) devant Dieu. Et nous répétons encore une fois : vous n’êtes pas sauvés par la piété de vos parents ou de vos grands-parents, ni parce que vous fréquentez une réunion d’enfants de Dieu. « L’âme qui a péché, celle-là mourra » (v. 20). « Car les gages du péché, c’est la mort (bien qu’il ne soit question en Ézéchiel que de la mort du corps) ; mais le don de grâce de Dieu c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur » (Rom. 6, 23). — Dieu a été accusé d’injustice par ce peuple aveugle et coupable (comme par tant d’incrédules aujourd’hui), ayant été jusqu’à dire : « La voie du Seigneur n’est pas réglée » (v. 25, 29 ; chap. 33, 17, 20). « Est-ce que je prends plaisir à la mort du méchant ? » est obligé de demander l’Éternel. Quelle question ! Dans Son amour immense, « notre Dieu sauveur… veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité » (1 Tim. 2, 4 ; 2 Pier. 3, 9). Aussi les derniers mots de ce chapitre sont-ils encore un appel de Sa grâce adressés à Son peuple… et peut-être à vous : « Revenez donc et vivez » !