Zacharie 14, 6 à 21

[Chaque jour les Écritures, année 5, 23 juillet]

C’est la fin du drame. Quand s’ouvrira le dernier acte, la situation aura été renversée par l’apparition soudaine du Seigneur de gloire. Le décor même aura changé. Un cataclysme inouï bouleversera la configuration du pays. Les peuples surpris en train de faire la guerre à Jérusalem… et à son Roi divin, se verront subitement frappés d’une horrible plaie. Dorénavant les nations au lieu de monter pour assiéger Jérusalem, devront y faire des pèlerinages annuels pour se prosterner devant le Roi, l’Éternel (v. 16). Ceux qui n’obéiront pas seront privés de pluies. Mêmes les clochettes des chevaux — ces chevaux qui tiennent tant de place dans la prophétie de Zacharie — porteront en gravure cette inscription : « Sainteté à l’Éternel ». Car toute la puissance de l’homme, symbolisée par le cheval, sera désormais sanctifiée pour Dieu. Que le Seigneur grave aussi sur nos cœurs ce signe de mise à part et de consécration pour Lui. Et que rien n’y pénètre qui ne soit en harmonie avec cette devise : « Sainteté à l’Éternel ». Ainsi serons-nous déjà en accord avec « ce jour-là », où Il sera publiquement « glorifié dans ses saints et admiré dans tous ceux qui auront cru » (2 Thess. 1, 10).