Galates 1, 11 à 24

[Chaque jour les Écritures, année 5, 29 juillet]

Quel bonheur pour nous de pouvoir faire une entière confiance à la Parole de Dieu ! Si l’évangile annoncé par Paul avait été selon l’homme, alors oui, les Galates auraient été fondés à accepter des compléments ou des modifications. Mais il n’en était rien. Et pour bien attester la source divine de son ministère, l’apôtre raconte de quelle extraordinaire façon il lui a été confié. C’est Dieu qui l’a mis à part (v. 15), Dieu qui a révélé Son Fils en lui, Dieu encore qui l’a formé à Son école, sans maîtres humains, dans le désert d’Arabie. En outre, Christ l’avait directement appelé du haut du ciel (Act. 9). — Paul avant son chemin de Damas nous apprend qu’on peut être absolument sincère en étant absolument l’ennemi du Seigneur (Jean 16, 2). Mais combien elle lui était chère à présent cette Assemblée de Dieu, autrefois persécutée par lui « outre mesure ». Imitons ce dévouement pour le Seigneur et les siens, ce zèle pour annoncer la foi (v. 23) ! Mais remarquons qu’avant de parler à d’autres de Son Fils, Dieu se plaît à Le « révéler » en nous (v. 16). Il veut produire dans notre cœur l’incomparable connaissance de Christ pour qu’en découle notre témoignage (2 Cor. 4, 6).