1 Thessaloniciens 5, 12 à 28

[Chaque jour les Écritures, année 5, 13 septembre]

La fin de l’épître nous apprend quel doit être notre comportement entre frères, à l’égard de tous les hommes, par rapport à Dieu, enfin dans l’assemblée. Notre vie entière est en somme encadrée par ces courtes exhortations. S’il s’agit de se réjouir, c’est toujours ; de prier, c’est sans cesse ; de rendre grâces, c’est en toutes choses ! La foi nous permet de remercier le Seigneur même pour ce qui nous semblerait fâcheux. Prier sans cesse, c’est demeurer dans Sa communion, ce qui sera aussi notre sauvegarde contre le mal sous toutes ses formes (v. 22). Celui qui nous a rachetés tout entiers, esprit, âme et corps, exige aussi la sainteté de notre être tout entier (chap. 4, 3). La souillure de l’esprit et celle du cœur, bien qu’invisibles, sont autant à craindre que celle du corps. Demandons au Seigneur, qui est fidèle, de nous conserver sans reproche, conformes à Lui, pour l’instant du grand rendez-vous. Eh bien, aucune pensée n’est plus propre à nous sanctifier que celle du retour du Seigneur Jésus (lire 1 Jean 3, 3). Nous avons trouvé cette inestimable promesse mentionnée à la fin de chacun des cinq chapitres de cette lettre. Ne la perdons jamais de vue. Et jusque-là, que la grâce de notre Seigneur Jésus Christ soit avec chacun de nous.