Hébreux 9, 16 à 28

[Chaque jour les Écritures, année 5, 17 octobre]

« Sans effusion de sang il n’y a pas de rémission » (v. 22 ; lire aussi Lév. 17, 11). Ce que proclamait chaque sacrifice de l’ancienne alliance, ce qu’Abel avait déjà compris par la foi (chap. 11, 4), est confirmé ici de la façon la plus catégorique. Car « les gages du péché c’est la mort », et le sang versé sur la terre est la preuve que ces gages ont été payés (Deut. 12, 23, 24). Le sang de Christ a été « versé pour plusieurs en rémission de péchés » (Matt. 26, 28). Qui sont ces plusieurs ? Tous ceux qui croient ! Le précieux sang de Jésus, continuellement sous le regard de Dieu, les met à l’abri de Sa colère. Car « il est réservé aux hommes de mourir une fois… ». Il ne leur sera pas accordé une seconde existence. Pourtant tout n’est pas fini avec celle-ci, et la mort est peu de chose à côté de ce qui la suit. Ce qu’il y a après la mort ? Un mot suffit à le révéler : … « après cela le jugement » (2 Tim. 4, 1 ; Apoc. 20, 12). L’homme sans Dieu a devant lui ces deux terribles réalités : la mort et le jugement. Mais le racheté possède pour sa part deux bienheureuses certitudes : le pardon de tous ses péchés et le retour du Seigneur pour sa délivrance finale (v. 28). Puisse chacun de nos jeunes lecteurs faire partie de « ceux qui l’attendent » !