Apocalypse 19, 1 à 16

[Chaque jour les Écritures, année 5, 25 décembre]

L’imposture de Babylone, sa prétention à être l’Église a été publiquement confondue. Maintenant le Seigneur présente Sa vraie Épouse aux conviés du banquet céleste. Le ciel éclate en louanges : « Alléluia, quelle sainte allégresse ! Voici venir les noces de l’Agneau… » — (Hymnes et Cantiques nº 57). À la joie de l’Époux répondra celle de l’Épouse ! Objet de grâce, sa parure consiste dans les actes justes des saints que Dieu leur a accordé d’accomplir pour Sa gloire. Mais les « conviés » aussi seront remplis de joie. Car « celui qui a l’Épouse est l’Époux, mais l’ami de l’Époux est tout réjoui à cause de la voix de l’Époux » (Jean 3, 29). — N’oublions pas, en attendant ce jour, que nous avons été « fiancés à un seul mari » pour être présentés au Christ « comme une vierge chaste » (2 Cor. 11, 2). Gardons-Lui toute la fraîcheur de nos affections. — Mais, s’Il est le Bien-aimé de l’Église, pour le monde Il devient le grand justicier. Sous le nom pris jadis pour manifester la grâce et la vérité, celui de « la Parole de Dieu », Il s’avance pour accomplir des « choses terribles » (Ps. 45 ; voir És. 59, 18 ; 63, 1-6). — Ami, quand et comment voulez-vous rencontrer Jésus ? Maintenant comme un Sauveur, ou bientôt comme un juge ?