La joie

Le Dieu que je connais, qui est mien, est Celui que je connaîtrai pour l’éternité : quelle source profonde de joie ! Je n’ai pas besoin d’un autre ; je L’ai connu en Jésus ; je L’ai connu comme Père ; mon cœur Le désire et Le connaît.

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L’effet d’une fausse joie est d’endormir la conscience.

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La joie en Dieu est une joie sérieuse et solennelle.

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L’apôtre sait se réjouir de tout, ne s’inquiéter de rien. Voilà l’expérience normale du chrétien. La puissance de l’Esprit le met au-dessus de tout. La chair est là, mais elle est mâtée. Or voici le secret de cette force : un ensevelissement absolu du vieil homme.

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Christ est notre vie, notre force et notre joie éternelle ; un chrétien peut d’autant plus s’appuyer sur Lui, qu’il est privé de tout secours extérieur. « Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur » [Phil. 4, 4]. La présence du Seigneur et la communion apportent toujours la joie. La vie de Christ en nous ne peut que se réjouir en la présence de Dieu.

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Sachons profiter vraiment de la présence de Dieu qui donne la joie et pas seulement de la joie que Sa présence donne.

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Ne laissez aucune puissance du mal ou des circonstances vous empêcher de vous réjouir toujours dans le Seigneur, mais pour cela il vous faut être avec Lui.