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<includeonly>{{SujetPass|Psa119 v. 1-8|001^Messager Évangélique|Aleph}}</includeonly>'''Aleph'''. — {{Pass|v. 1-4|Psa119v1-4}}. « Heureux ceux qui sont intègres dans leur voie, qui marchent dans la loi de l’Éternel ! — Heureux ceux qui observent ses témoignages, qui le cherchent de tout leur cœur — qui aussi ne commettent point d’iniquité, qui marchent dans ses voies ! — Tu as prescrit tes ordonnances pour qu’on les garde avec soin. »
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<includeonly>{{SujetPass|Psa119 v. 1-8|me1860154^Messager Évangélique|Aleph}}</includeonly>'''Aleph'''. — {{Pass|v. 1-4|Psa119v1-4}}. « Heureux ceux qui sont intègres dans leur voie, qui marchent dans la loi de l’Éternel ! — Heureux ceux qui observent ses témoignages, qui le cherchent de tout leur cœur — qui aussi ne commettent point d’iniquité, qui marchent dans ses voies ! — Tu as prescrit tes ordonnances pour qu’on les garde avec soin. »
    
Ces {{Pass|quatre premiers versets|Psa119v1-4}} sont une espèce d’exorde à ce psaume ; ce n’est pas l’homme qui y parle comme exprimant ses expériences propres. L’Esprit de Dieu pose ces principes comme ''thème'', pour quiconque veut marcher selon Dieu et jouir de Sa bénédiction sur la terre. Or, au temps où Israël aura ''la loi'' dans le cœur ({{Pass|Jér. 31|Jer31v33}}), ses sentiments et sa marche harmoniseront avec ces principes. Ce ne sera plus {{Pass|« la chair ne se soumettant pas à la loi de Dieu »|Rom8v7|a}} ; mais ce sera ''l’homme'' prenant plaisir à observer la justice. Cet état moral sera celui du résidu juif, à la fin de la dispensation présente. La loi de l’Éternel est la règle du juste en Israël, règle à laquelle il rapporte les actes de sa vie ; et qui fut donnée comme telle à Israël<ref>La foi a rendu David capable de dépasser cette règle, {{Pass|2 Sam. 19, 6|DSa19v6}} ; {{Pass|1 Sam. 24, 20|USa24v20}} ; cf. {{Pass|Matt. 5, 43|Mat5v43}} ; — et c’est aussi ce qui arrive au chrétien.</ref>.
 
Ces {{Pass|quatre premiers versets|Psa119v1-4}} sont une espèce d’exorde à ce psaume ; ce n’est pas l’homme qui y parle comme exprimant ses expériences propres. L’Esprit de Dieu pose ces principes comme ''thème'', pour quiconque veut marcher selon Dieu et jouir de Sa bénédiction sur la terre. Or, au temps où Israël aura ''la loi'' dans le cœur ({{Pass|Jér. 31|Jer31v33}}), ses sentiments et sa marche harmoniseront avec ces principes. Ce ne sera plus {{Pass|« la chair ne se soumettant pas à la loi de Dieu »|Rom8v7|a}} ; mais ce sera ''l’homme'' prenant plaisir à observer la justice. Cet état moral sera celui du résidu juif, à la fin de la dispensation présente. La loi de l’Éternel est la règle du juste en Israël, règle à laquelle il rapporte les actes de sa vie ; et qui fut donnée comme telle à Israël<ref>La foi a rendu David capable de dépasser cette règle, {{Pass|2 Sam. 19, 6|DSa19v6}} ; {{Pass|1 Sam. 24, 20|USa24v20}} ; cf. {{Pass|Matt. 5, 43|Mat5v43}} ; — et c’est aussi ce qui arrive au chrétien.</ref>.
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La joie que le cœur exprime, par sa louange à Dieu, ne diminue en rien le sentiment que l’on peut avoir de sa propre faiblesse ; et là où ce sentiment est faible, Dieu y ramène en permettant l’accomplissement de certaines choses qui font voir que si Dieu nous laisse à nous-mêmes, nous sommes incapables de garder ce que Sa volonté souveraine a établi pour notre bien et pour Sa gloire. {{Pass|On prend plaisir dans les statuts du Seigneur, quant à l’homme intérieur|Rom7v22|a}} ; mais pour les garder, il faut en nous le déploiement de ''la force'' de {{Pass|Celui qui accomplit toutes choses selon le conseil de Sa volonté|Eph1v11|a}}.
 
La joie que le cœur exprime, par sa louange à Dieu, ne diminue en rien le sentiment que l’on peut avoir de sa propre faiblesse ; et là où ce sentiment est faible, Dieu y ramène en permettant l’accomplissement de certaines choses qui font voir que si Dieu nous laisse à nous-mêmes, nous sommes incapables de garder ce que Sa volonté souveraine a établi pour notre bien et pour Sa gloire. {{Pass|On prend plaisir dans les statuts du Seigneur, quant à l’homme intérieur|Rom7v22|a}} ; mais pour les garder, il faut en nous le déploiement de ''la force'' de {{Pass|Celui qui accomplit toutes choses selon le conseil de Sa volonté|Eph1v11|a}}.
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<includeonly>{{SujetPass|Psa119 v. 9-16|009^Messager Évangélique|Beth}}</includeonly>'''Beth'''. — {{Pass|v. 9|Psa119v9}}. « Par quel moyen le jeune homme rendra-t-il pure sa voie ? En y prenant garde selon ta parole. »
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<includeonly>{{SujetPass|Psa119 v. 9-16|me18601549^Messager Évangélique|Beth}}</includeonly>'''Beth'''. — {{Pass|v. 9|Psa119v9}}. « Par quel moyen le jeune homme rendra-t-il pure sa voie ? En y prenant garde selon ta parole. »
    
C’est au début de sa carrière, que l’homme doit prendre la Parole de Dieu pour son guide ; c’est le seul moyen par lequel il pourra rendre ''pure'' sa voie devant Dieu. Adam et Ève se sont corrompus dans ''leur voie'', en prêtant l’oreille et en obéissant à la parole du serpent ; mais l’effet inverse est produit par la Parole de Dieu, en celui qui la recherche avec foi. Consulter la Parole et obéir à Dieu, tel est le privilège de celui qui est placé sous Son gouvernement.
 
C’est au début de sa carrière, que l’homme doit prendre la Parole de Dieu pour son guide ; c’est le seul moyen par lequel il pourra rendre ''pure'' sa voie devant Dieu. Adam et Ève se sont corrompus dans ''leur voie'', en prêtant l’oreille et en obéissant à la parole du serpent ; mais l’effet inverse est produit par la Parole de Dieu, en celui qui la recherche avec foi. Consulter la Parole et obéir à Dieu, tel est le privilège de celui qui est placé sous Son gouvernement.
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Mais ''les statuts'' du Seigneur étant le fruit de la sagesse de Dieu, dirigeant les siens ici-bas, sont pour le juste une source de délices : quelle bénédiction pour l’âme, d’être dirigée selon Dieu au milieu du mal ! Or, ces directions sont dans la Parole, aussi ne l’oublie-t-il point.
 
Mais ''les statuts'' du Seigneur étant le fruit de la sagesse de Dieu, dirigeant les siens ici-bas, sont pour le juste une source de délices : quelle bénédiction pour l’âme, d’être dirigée selon Dieu au milieu du mal ! Or, ces directions sont dans la Parole, aussi ne l’oublie-t-il point.
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<includeonly>{{SujetPass|Psa119 v. 17-24|017^Messager Évangélique|Guimel}}</includeonly>'''Guimel'''. — {{Pass|v. 17|Psa119v17}}. « Fais du bien à ton serviteur, pour que je vive et que je garde ta parole. »
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<includeonly>{{SujetPass|Psa119 v. 17-24|me1860154^Messager Évangélique|Guimel}}</includeonly>'''Guimel'''. — {{Pass|v. 17|Psa119v17}}. « Fais du bien à ton serviteur, pour que je vive et que je garde ta parole. »
    
Ici, le juste accomplit son service, c’est pourquoi il prend le titre de ''serviteur'' : ''il se lève'' pour servir Celui qui l’a guéri ({{Pass|Matt. 8, 15|Mat8v15}}). — Ce n’est plus uniquement une affaire de jouissance avec Dieu, mais de peine au milieu des hommes ; c’est pourquoi il fait cette demande à Dieu : « Fais du bien à ton serviteur » ; dans le travail, les forces ont besoin d’être renouvelées ; car la force que je possédais hier, ne suffira pas aujourd’hui ; mais c’est de Dieu que vient la force dont Son serviteur a besoin. Ce verset met encore cette autre pensée en saillie : ce n’est pas afin de vivre pour lui-même, que le juste demande à Dieu de lui faire du bien, mais c’est afin de garder ''Sa parole'' ; ce n’est pas ses intérêts particuliers qu’il recherche, mais ceux de Dieu. Tel est le but que le cœur poursuit s’il est vraiment consacré à Dieu. Ceci rentre dans le principe posé par l’apôtre Paul : « Nul ne vit pour soi-même, et nul ne meurt pour soi-même » ({{Pass|Rom. 14, 7|Rom14v7}}). Notre consécration à Dieu sera toujours la mesure du dévouement que nous porterons à Le servir.
 
Ici, le juste accomplit son service, c’est pourquoi il prend le titre de ''serviteur'' : ''il se lève'' pour servir Celui qui l’a guéri ({{Pass|Matt. 8, 15|Mat8v15}}). — Ce n’est plus uniquement une affaire de jouissance avec Dieu, mais de peine au milieu des hommes ; c’est pourquoi il fait cette demande à Dieu : « Fais du bien à ton serviteur » ; dans le travail, les forces ont besoin d’être renouvelées ; car la force que je possédais hier, ne suffira pas aujourd’hui ; mais c’est de Dieu que vient la force dont Son serviteur a besoin. Ce verset met encore cette autre pensée en saillie : ce n’est pas afin de vivre pour lui-même, que le juste demande à Dieu de lui faire du bien, mais c’est afin de garder ''Sa parole'' ; ce n’est pas ses intérêts particuliers qu’il recherche, mais ceux de Dieu. Tel est le but que le cœur poursuit s’il est vraiment consacré à Dieu. Ceci rentre dans le principe posé par l’apôtre Paul : « Nul ne vit pour soi-même, et nul ne meurt pour soi-même » ({{Pass|Rom. 14, 7|Rom14v7}}). Notre consécration à Dieu sera toujours la mesure du dévouement que nous porterons à Le servir.
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