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{{SujetPass|UTi2 v. 15|1863120^Messager Évangélique}}
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{{Titre|Explication de passages|M.E. 1863 - Explication de passages}}<noinclude>{{Description|Article du Messager Évangélique sur 1 Timothée 2, 15|femme, 1 Tim. 2 v. 15,enfantement,Messager Évangélique}}</noinclude>
 
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Notre frère E.M. (voir [[Messager Évangélique:Explication de passages (mars 1863)|notre précédent numéro p. 99]]) demande encore l’explication du passage {{Pass|1 Timothée 2, 15|UTi2v15}}, où il est dit de la femme&nbsp;: « Mais elle sera sauvée en mettant des enfants au monde », ou littéralement&nbsp;: « ''par'' ou ''à travers l’enfantement'' ». Pour l’intelligence de ces paroles, il faut se souvenir que l’apôtre, qui a parlé d’Ève en passant, généralise cependant ce qu’il a à dire de son sexe&nbsp;: l’idée qu’il développe, c’est que la femme ne doit pas enseigner, ni user d’autorité sur l’homme, à qui elle est inférieure. Elle a été formée après l’homme, de l’homme et pour l’homme. Elle est par nature plus susceptible aux impressions qui viennent du dehors&nbsp;: Adam ne fut pas tenté par le serpent, il le fut par Ève que la séduction avait fait tomber. La ''femme'' doit donc s’abstenir d’enseigner, cependant « elle sera sauvée si elle persévère dans la foi, dans l’amour et dans la sainteté avec modestie ». Mais le salut qui lui a été offert après la chute, ne détruit pas sa position inférieure, ni même les douleurs de l’enfantement qui lui furent imposées comme peine naturelle et spéciale. C’est aux paroles de {{Pass|Genèse 3, 15, 16|Gen3v15,16}}, que se rapportent les exhortations de Paul, et les douleurs de l’enfantement peuvent être considérées comme un exercice de la foi. On peut ajouter, comme une idée secondaire peut-être et cachée dans l’arrière-plan, le salut qui devait sortir pour la femme comme pour l’homme de la malédiction elle-même reposant dans l’enfantement, c’est que de la semence de la femme devait naître Celui qui briserait la tête du serpent et procurerait à l’homme croyant le bonheur éternel, dont la chute et le péché l’avaient complètement exclu.
 
Notre frère E.M. (voir [[Messager Évangélique:Explication de passages (mars 1863)|notre précédent numéro p. 99]]) demande encore l’explication du passage {{Pass|1 Timothée 2, 15|UTi2v15}}, où il est dit de la femme&nbsp;: « Mais elle sera sauvée en mettant des enfants au monde », ou littéralement&nbsp;: « ''par'' ou ''à travers l’enfantement'' ». Pour l’intelligence de ces paroles, il faut se souvenir que l’apôtre, qui a parlé d’Ève en passant, généralise cependant ce qu’il a à dire de son sexe&nbsp;: l’idée qu’il développe, c’est que la femme ne doit pas enseigner, ni user d’autorité sur l’homme, à qui elle est inférieure. Elle a été formée après l’homme, de l’homme et pour l’homme. Elle est par nature plus susceptible aux impressions qui viennent du dehors&nbsp;: Adam ne fut pas tenté par le serpent, il le fut par Ève que la séduction avait fait tomber. La ''femme'' doit donc s’abstenir d’enseigner, cependant « elle sera sauvée si elle persévère dans la foi, dans l’amour et dans la sainteté avec modestie ». Mais le salut qui lui a été offert après la chute, ne détruit pas sa position inférieure, ni même les douleurs de l’enfantement qui lui furent imposées comme peine naturelle et spéciale. C’est aux paroles de {{Pass|Genèse 3, 15, 16|Gen3v15,16}}, que se rapportent les exhortations de Paul, et les douleurs de l’enfantement peuvent être considérées comme un exercice de la foi. On peut ajouter, comme une idée secondaire peut-être et cachée dans l’arrière-plan, le salut qui devait sortir pour la femme comme pour l’homme de la malédiction elle-même reposant dans l’enfantement, c’est que de la semence de la femme devait naître Celui qui briserait la tête du serpent et procurerait à l’homme croyant le bonheur éternel, dont la chute et le péché l’avaient complètement exclu.
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