Traduction:Comment étudier la Bible/Dictionnaires bibliques

De mipe
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Dans l’acceptation la plus large du mot, un excellent volume unique est la Cyclopédie de la Bible de Fausset, qui a le mérite de l’érudition, de l’orthodoxie et jusqu’à un certain point d’une perception spirituelle de la vérité.

Un autre dictionnaire de la Bible, publié par G. Morrish, a l’avantage supplémentaire d’une perception spirituelle plus profonde, bien que nous ne soyons pas prêts à parler avec la même assurance de son ampleur et de son érudition.

Le « Smith’s Bible Dictionary », édition de Hackett en quatre volumes, est peut-être le meilleur des ouvrages relativement récents et érudits en détail. Il a aussi le mérite de l’orthodoxie qui, hélas, manque dans de nombreux autres travaux modernes.

Le Dictionnaire de la Bible de Hastings, et le Conducteur, et toutes les œuvres de ce genre, doivent être évités par quiconque aime la Parole de Dieu. Ils sont complètement infestés de levain et infectés par la haute critique, et tout le vain déploiement de l’érudition ne fait que soulever de la poussière pour obscurcir la vision des simples.

D’autres livres utiles de ce caractère, qui aident, sont le « Bible Dictionary » de Kitto ; le « Doctrinal, Ecclesiastical and Theological Cyclopædia » de McClintock et Strong, en dix ou douze volumes — des œuvres plus grosses ; le « Cyclopædia » de Schaff-Herzog, une adaptation en anglais de l’œuvre plus importante de Herzog en allemand, et pour les lecteurs ordinaires, le plus petit Dictionnaire de la Bible par le Dr. Schaff, sont tout ce qui a besoin d’être cité. Deux livres avec de nombreux articles utiles sont les « Handbooks to the Old and the New Testaments » par Walter Scott.

Certains de ces ouvrages peuvent être trouvés de temps à autre dans les librairies d’occasion pour une somme modeste. Pour quiconque n’achèterait qu’un livre, nous recommanderions celui de Fausset comme le plus probable de lui donner satisfaction.