◊1On entend dire partout[t1] qu’il y a de la fornication parmi vous, et une fornication telle qu’elle [n’existe] pas même[1][a1] parmi les nations, de sorte que quelqu’un aurait la femme de son père. ◊2Et vous[t2] êtes enflés d’orgueil, et vous n’avez pas plutôt mené deuil, afin que celui qui a commis cette action fût ôté du milieu de vous. ◊3Car pour moi,[2][a2] étant absent de corps, mais présent en esprit, j’ai déjà, comme présent, jugé ◊4(vous et mon esprit étant assemblés, avec la puissance de notre seigneur Jésus Christ), [de livrer], au nom de notre seigneur Jésus Christ[t3][a3], celui qui a ainsi commis cette action, ◊5[j’ai jugé, dis-je,] de livrer un tel homme à Satan pour la destruction de la chair, afin que l’esprit soit sauvé dans la journée du Seigneur Jésus. ◊6Votre vanterie n’est pas bonne ; ne savez-vous pas qu’un peu de levain fait lever la pâte tout entière ? ◊7Ôtez[3][a4] le vieux levain, afin que vous soyez une nouvelle pâte, comme vous êtes sans levain. Car aussi notre pâque, Christ, a été sacrifiée[4][a5] : ◊8c’est pourquoi célébrons la fête, non avec du vieux levain, ni avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec des pains sans levain de sincérité et de vérité.
◊9Je vous ai écrit dans la lettre, de ne pas avoir de commerce avec des fornicateurs, ◊10[t4][a6]non pas absolument avec les fornicateurs de ce monde, ou les avares et[5][a7] les ravisseurs, ou les idolâtres, puisqu’ainsi il faudrait que vous sortissiez du monde ; ◊11mais, maintenant, je vous ai écrit que, si quelqu’un appelé frère est fornicateur[t5], ou avare, ou idolâtre, ou outrageux, ou ivrogne, ou ravisseur, vous n’ayez pas de commerce avec lui, que vous ne mangiez pas même avec un tel homme. ◊12Car qu’ai-je affaire de juger ceux de dehors aussi[t6][a8] ? Vous, ne jugez-vous pas ceux qui sont de dedans ? ◊13Mais ceux de dehors, Dieu les juge[t7]. [a9]Ôtez[t8] le méchant du milieu de vous-mêmes.