Messager Évangélique:Qu’est-ce que la chair d’après la Parole

De mipe
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Pour répondre à la demande de notre frère H.C.L. (voir n° 7), nous avons collationné tous les passages de l’Ancien Testament où se trouve le mot hébreu basar (il revient environ deux cent soixante-dix fois) et tous ceux du Nouveau où se rencontre le mot sarx (cent cinquante-et-une fois répété) : l’un et l’autre de ces mots signifie chair. Nous sommes toujours plus convaincu que c’est là le moyen le plus sûr de déterminer le sens ou les divers sens des mots qui sont fréquemment employés dans le texte sacré. Nous allons donc indiquer quels sont, à ce que nous pensons, les diverses significations du mot chair dans les Écritures, en rétablissant ce mot dans les passages que nous citerons, lorsqu’il est rendu par d’autres termes dans nos traductions.

Divers sens du mot chair dans les Écritures

1. Le plus littéral : — Substance molle et sanguine qui est entre la peau et les os :

a) de l’homme. Genèse 2, 21 : Dieu resserra la chair. Jérémie 19, 9 : « Je leur ferai manger la chair de leurs fils, et la chair de leurs filles ; et chacun mangera la chair de son compagnon durant le siège ». Voyez aussi Luc 24, 39 ; 1 Corinthiens 15, 39 ; Apocalypse 19, 18, 21, etc.

b) des animaux, ou viande. Genèse 9, 4 : Vous ne mangerez point de chair avec son âme. Nombres 11, 4, 13, 18, etc.

2. Les hommes en général ; Genèse 6, 12, 13 : « Toute chair avait corrompu sa voie. — La fin de toute chair est venue ». Psaume 65, 2 : « Toute chair viendra jusqu’à toi ». Psaume 145, 21 : « Toute chair bénira son nom ». Joël 2, 28 et Actes 2, 17 : « Je répandrai mon Esprit sur toute chair », etc. L’Éternel est appelé : « le Dieu de toute chair », Jérémie 32, 27 ; et « le Dieu des esprits de toute chair », Nombres 16, 22 ; 27, 16. « En sa main, dit Job (12, 10) est l’esprit de toute chair humaine ». — Voir encore Ésaïe 40, 5, 6 ; Daniel 2, 11 ; Matthieu 24, 22 ; Luc 3, 6 ; Jean 17, 2, etc.

3. Les hommes et les animaux, ou les animaux seuls. Genèse 6, 17, 19 : « un déluge… pour détruire toute chair en laquelle il y a esprit de vie… Et de tout ce qui vit d’entre toute chair, tu en feras entrer deux dans l’arche ». 7, 15 : « Il vint donc de toute chair, qui a en soi esprit de vie, par couples à Noé, dans l’arche ». Psaume 136, 25 : « Il donne la nourriture à toute chair ».

4. Le corps de l’homme. 1 Rois 21, 27 ; 2 Rois 6, 30 : « Il mit un sac sur sa chair ». Job 19, 26 : « Je verrai Dieu de ma chair ». Psaume 16, 9 et Actes 2, 26, 31 : « Ma chair habitera avec assurance ». « Sa chair n’a pas vu la corruption ». Proverbes 14, 30 : « Le cœur doux est la vie de la chair ». Ecclésiaste 4, 5 : « Le fou… consume sa propre chair ». Ecclésiaste 12, 12 : « Tant d’étude est une fatigue pour la chair ». Ézéchiel 12, 7 ; Galates 4, 13, 14 :… « une écharde dans la chair » (une souffrance corporelle). Galates 2, 20 : « Ce que je vis en la chair » (dans mon corps). Galates 6, 10 ; Éphésiens 5, 28, 29 ; Philippiens 1, 22, 24 ; 1 Corinthiens 5, 5 ; 7, 28 ; Colossiens 1, 24 ; 2, 1, 5 ; à quoi il faut ajouter tous les passages qui se rapportent à l’incarnation ou à la nature humaine du Seigneur Jésus, tels que : Jean 1, 14 ; Éphésiens 2, 15 ; Colossiens 1, 22 ; 1 Timothée 3, 16 ; Hébreux 5, 7 ; 10, 20 ; 1 Pierre 3, 18 ; 4, 1 ; 1 Jean 4, 2, 3 ; 2 Jean 7.

Je pense que c’est sous cette rubrique qu’il faut placer les passages Psaumes 63, 1 et 84, 2 : « Ma chair te souhaite » ; « mon cœur et ma chair tressaillent de joie », en les appliquant essentiellement au Seigneur Jésus qui est, je crois, Celui qui parle, en s’identifiant avec le résidu de la fin.

5. L’homme infirme et misérable. 2 Chroniques 32, 8 : « Le bras de la chair est avec lui ». Jérémie 17, 5 : « Maudit soit… qui fait de la chair son bras ». Job 10, 4 : « Ô Dieu, as-tu des yeux de chair ? vois-tu comme un homme ? »… Ésaïe 31, 3 : « Leurs chevaux ne sont que chair et non pas esprit ». Psaume 56, 4 : « Que me fera la chair ? ».

6. De même nature que moi, un autre moi-même. Exemple unique, Genèse 2, 23 : « Celle-ci est os [tiré] de mes os, et chair [provenant] de ma chair ». À quoi se rattache l’expression : « les deux seront [pour] une seule chair », employée pour désigner la plus étroite et la plus intime union : Genèse 2, 24 ; Matthieu 19, 5, 6 ; Marc 10, 8 ; 1 Corinthiens 6, 16 ; Éphésiens 5, 31.

7. Proches parents — du même sang. Genèse 29, 14 : « Tu es mon os et ma chair ». Juges 9, 2 ; 2 Samuel 5, 1 ; 19, 12, 13 ; 1 Chroniques 11, 1 ; Genèse 37, 27 : « Notre frère est notre chair ». Ésaïe 58, 7 ; Romains 11, 14 : « Si je puis exciter ma chair [les Juifs] à la jalousie ». Éphésiens 5, 30 : « Nous sommes… de sa chair et de ses os ».

8. Parfois ce qui est fréquemment exprimé par nudité : Exode 28, 42 : « pour couvrir la chair de leur nudité ». Lévitique 6, 10 ; 15, 2 ; Ézéchiel 16, 26 ; 23, 20.

9. La chair et le sang : les hommes, la nature humaine, expression particulière au Nouveau Testament : voir Matthieu 16, 17 ; 1 Corinthiens 15, 50 ; Galates 1, 16 ; Éphésiens 6, 12 ; Hébreux 2, 14.

10. Humain — opposé de ce qui est dur — amolli : Ézéchiel 11, 19 ; 36, 26 : « J’ôterai le cœur de pierre hors de leur chair, et je leur donnerai un cœur de chair ». Cf. 2 Rois 22, 19. 2 Corinthiens 3, 3 : « écrite sur les tables de chair du cœur ».

11. Ce qui est extérieur, visible, temporel. « Nous n’avons aucune confiance en la chair… J’aurais le droit d’avoir confiance même dans la chair. Si quelqu’un… estime qu’il a de quoi se confier en la chair, moi plus encore ». — Hébreux 7, 16 : « Selon une loi de commandement charnel » ; 10, 10 : « ordonnances charnelles, littéralement de chair ». Romains 15, 27 ; 1 Corinthiens 9, 11 : « choses charnelles ou biens charnels », opposés aux biens spirituels.

12. Selon la chair, le plus souvent : selon l’homme, selon la nature.

Actes 2, 30 ; Romains 1, 3 ; 9, 5 : « Jésus Christ… né de la semence de David selon la chair ». 4, 1 : « Abraham… a trouvé selon la chair ». 9, 3 : « mes frères, mes parents selon la chair ». 1 Corinthiens 1, 26 : « pas beaucoup de sages selon la chair ». 10, 18 : « l’Israël selon la chair ». 2 Corinthiens 5, 16 : « Nous ne connaissons désormais personne selon la chair ; et même si nous avons connu Christ selon la chair, maintenant nous ne le connaissons plus ». 11, 18 : « Plusieurs se glorifient selon la chair ». Galates 4, 23, 29 : Le fils de la servante naquit « selon la chair ». Éphésiens 6, 5 ; Colossiens 3, 22 : « Obéissez à vos maîtres selon la chair ». Philémon 16 : « soit selon la chair, soit selon le Seigneur ».

13. Enfin nous avons le sens moral du mot chair. Comme, dans la Parole, le monde est opposé au Père, Satan est l’antagoniste de Jésus, de même la chair est en opposition avec l’Esprit. Dans cette acception, elle désigne la nature animale et corrompue, siège des appétits sensuels : la vitiosité, si l’on pouvait employer ce mot, la souillure morale, le péché, considéré dans sa source en notre être déchu et indépendamment de ses manifestations extérieures.

Ici les passages sont très nombreux. Nous n’en rappellerons que quelques-uns. Le mot chair est, je crois, très peu employé avec cette acception, dans l’Ancien Testament. C’est probablement ainsi qu’il faut l’entendre en Genèse 6, 3, cf. Psaume 78, 39 : « Mon Esprit ne contestera point toujours avec les hommes, car aussi ils ne sont que chair ». À cela se rapporte cette déclaration de Jésus, Jean 3, 6 : « Ce qui est né de la chair, est chair ».

Peut-être est-ce aussi dans ce sens qu’il faut entendre Ecclésiaste 2, 3, littéralement : « J’ai pris le parti de maintenir (ou dilater) ma chair dans le vin » (on a traduit aussi : « de fortifier mon corps par le vin ») ; et 5, 6 : « Ne permets point que ta bouche fasse pécher ta chair ».

C’est donc le Nouveau Testament qui parle surtout de la chair dans ce dernier sens. Nous y voyons que « la chair ne sert de rien » (ici, c’est peut-être le sens du §11) ; que les Juifs jugeaient « selon la chair » ; que les enfants de Dieu ne sont point « nés de la volonté de la chair » (Jean 6, 63 ; 8, 15 ; 1, 13). Mais c’est tout particulièrement dans les lettres de l’apôtre Paul que nous trouvons des enseignements sur ce sujet. En voici un court résumé : Nous étions tous naturellement dans la chair, qui est inimitié contre Dieu, et dont la pensée est la mort. « Nous avons tous conversé autrefois dans les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et des pensées ». « Or ceux qui sont dans la chair ne peuvent point plaire à Dieu » ; ils ne sont point enfants de Dieu, ils sont des enfants de colère. Mais Dieu « a envoyé son propre Fils en ressemblance de chair de péché et pour le péché, et il a condamné le péché en la chair » (c’est-à-dire dans sa source, dans son principe : le péché et non pas seulement les péchés). Maintenant tous ceux qui, par grâce, par la foi, ont part aux bienfaisants résultats de la mort de Christ, ne sont plus dans la chair, car ils sont agréables à Dieu, rendus agréables dans le Bien-aimé. Ils peuvent dire : « Quand nous étions dans la chair ». Ils peuvent prendre pour eux ce que Paul disait aux saints de Rome : « Or vous n’êtes pas dans la chair, mais dans l’Esprit ». Cela ne veut pas dire que la chair ne soit plus en nous[1] (Rom. 7, 5 ; Éph. 2, 3, 11 ; Rom. 8, 3, 6-9 ; 9, 8).

Hélas ! tant que nous sommes dans ce corps de péché et de mort, la chair est toujours en nous — quoique la grâce de Dieu nous ait, par le Saint Esprit, qui est richement donné à tous les croyants (Rom. 5, 5 ; Tite 3, 6), communiqué un autre principe, opposé à la chair et plus puissant qu’elle. — Nous savons que sans cesse « la chair convoite contre l’Esprit », mais aussi l’Esprit contre la chair, ces deux choses étant opposées l’une à l’autre. Or voici quels sont les résultats, dans notre carrière terrestre, de cette lutte incessante : ou bien, il nous est donné de nous défier de nous-mêmes, en nous souvenant qu’en nous, c’est-à-dire en notre chair, il n’habite point de bien ; alors dans la conscience de notre infirmité et des pièges qui nous environnent, nous veillons, nous prions, nous nous fortifions dans la communion du Seigneur Jésus et dans la grâce qui est en Lui, nous écoutons la voix du Consolateur qui est en nous en craignant de Le contrister — et ainsi la chair est comprimée, tenue en sujétion, nous sommes remplis de l’Esprit qui agit en liberté et en puissance et nous fait porter ces beaux fruits énumérés en Galates 5, 22. Ah ! si nous avions plus à cœur la gloire de Dieu et nos propres intérêts, il en serait toujours ainsi ; mais la chair, qui est faible pour le bien, a une grande puissance en nous pour le mal. Toujours d’intelligence avec l’ennemi extérieur, qui rôde continuellement autour de nous, cherchant à nous dévorer, cet adversaire intérieur ne cesse d’agir en antagonisme avec le principe divin que le Dieu de grâce a mis en nous. Et puis nous vivons dans un monde qui est tout entier plongé dans le mal et dont les joies et les biens n’ont que trop d’attrait sur nos cœurs : ce qui est dans le monde, c’est, d’abord, la convoitise de la chair, qu’un seul regard, tel que celui d’Ève (Gen. 3, 6), a pu faire naître, et qu’un seul regard, tel que celui de Lot (Gen. 13, 10), suffit toujours à réveiller. Aussi, trop souvent, dans ce combat à mort, la chair a le dessus, c’est l’Esprit qui est comprimé dans Son action et contristé. Alors les œuvres de la chair qui sont manifestes, que chacun peut reconnaître aisément, se montrent au-dehors dans la marche, dans la vie des enfants de Dieu ; elles viennent souiller, affaiblir et même annuler leur témoignage. L’affreuse liste en est donnée en Galates 5, 19, 20. Ce ne sont pas seulement, comme quelques moralistes chrétiens le pensent, des œuvres d’impureté, mais aussi « les inimitiés, les querelles, les jalousies, les colères, les intrigues, les divisions, les sectes » etc. (Gal. 5, 17 ; Rom. 7, 14, 18 ; 1 Jean 2, 16).

De là vient que Paul, dans sa première épître aux Corinthiens, distingue les croyants en deux classes : ceux qui sont spirituels et ceux qui sont charnels. Après avoir dit (2, 15) : « Celui qui est spirituel discerne toutes choses », il ajoute, au commencement du chapitre 3 : « Et moi, frères, je n’ai pu vous parler comme à des hommes spirituels, mais comme à des hommes charnels, comme à des enfants en Christ. Je vous ai donné du lait à boire, non pas de la viande, car vous ne pouviez pas encore la supporter, et même maintenant encore vous ne le pouvez pas, car vous êtes encore charnels. Car puisqu’il y a parmi vous de l’envie, des querelles et des divisions, n’êtes-vous pas charnels, et ne marchez-vous pas à la manière des hommes ? Car quand l’un dit : Pour moi je suis de Paul ; et l’autre : Pour moi je suis d’Apollos, n’êtes-vous pas charnels ? ».

Maintenant que pouvons-nous ajouter ? Seulement quelques passages en rapport avec cette condition morale et que nous prions Dieu d’appliquer Lui-même avec puissance à nos consciences et à nos cœurs. Souvenons-nous que, nous, chrétiens, comme tels, « ne marchons point selon la chair, mais selon l’Esprit ». — « Ainsi donc, frères, nous sommes redevables, non pas à la chair, pour vivre selon la chair, car si vous vivez selon la chair, vous mourrez ; mais si par l’Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez ». « Revêtez le Seigneur Jésus Christ, et ne prenez pas soin de la chair pour satisfaire à ses convoitises ». — Puissions-nous, comme Paul, pouvoir déclarer, sur « le témoignage de notre conscience, qu’avec simplicité et sincérité de Dieu, non pas avec une sagesse charnelle, mais par la grâce de Dieu, nous nous sommes conduits dans le monde » (Rom. 8, 4, 12, 13 ; 13, 14 ; 2 Cor. 1, 12).

Le même apôtre disait aux Galates (3, 3) : « Êtes-vous si insensés ? Ayant commencé par l’Esprit, achèveriez-vous maintenant par la chair ? ». 5, 13 : « Frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement n’usez pas de la liberté comme d’une occasion pour la chair ». Verset 16 : « Marchez par l’Esprit, et vous n’accomplirez pas la convoitise de la chair ». N’oublions pas que (v. 24) « ceux qui sont du Christ (c’est-à-dire les chrétiens) ont crucifié la chair avec les passions et les convoitises », et que (6, 8) : « celui qui sème pour sa propre chair moissonnera aussi de la chair la corruption, mais celui qui sème pour l’Esprit, moissonnera de l’Esprit la vie éternelle ». Faites votre compte que « vous avez été circoncis en Christ d’une circoncision faite sans main, dans le dépouillement du corps de la chair par la circoncision du Christ,… et que lorsque vous étiez morts dans vos offenses et dans l’incirconcision de votre chair, il vous a vivifiés ensemble avec lui » (Col. 2, 11, 13. Voir encore 1 Pierre 2, 11 ; 4, 1, 2).

« Vous êtes le temple du Dieu vivant, selon ce que Dieu a dit : J’habiterai au milieu d’eux, et j’y marcherai, et je serai leur Dieu, et eux seront mon peuple. C’est pourquoi sortez du milieu d’eux et vous en séparez, dit le Seigneur, et ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous recevrai ; et je vous serai pour père, et vous me serez pour fils et pour filles, dit le Seigneur tout-puissant. Ayant donc ces promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de chair et d’esprit, achevant la sainteté dans la crainte de Dieu » (2 Cor. 6, 16 ; 7, 1).

Nous n’avons répondu qu’au premier paragraphe des questions posées par notre frère H.C.L. ; nous croyons que cela suffit. Nous ne savons pas voir l’allusion mentionnée au §2, ni les passages qui peuvent appuyer le §4. Quant au 3e, nous espérons publier bientôt quelques pensées sur la fin du verset 48 de 1 Corinthiens 15[2].



  1. Il est écrit de même : « Si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine et vous êtes encore dans vos péchés », d’où il résulte nécessairement que, Christ étant ressuscité, nous ne sommes plus dans nos péchés. Et ailleurs : « Lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous », en sorte que nous ne sommes plus des pécheurs : ce qui ne signifie pas que le péché ne soit plus en nous et que nous n’ayons point de péchés à nous reprocher et à confesser à Dieu. Mais le péché n’a plus de domination sur nous, parce que nous ne sommes plus sous la loi, mais sous la grâce. Nous ne sommes plus dans nos péchés, parce que le sang de Jésus Christ nous purifie de tout péché. Dieu ne nous considère plus comme des pécheurs, mais comme Ses enfants justifiés, lavés et sanctifiés en Christ (1 Cor. 15, 17 ; Rom. 5, 8 ; 1 Jean 1, 8, 9 ; Rom. 6, 14).
  2. Avis au cher frère T.C. à F.